Publications

ITC publications bring the business voice to sustainable trade, with a focus on developing countries. We offer guidance for trade policymakers, business support organizations and small firms. Our reports offer insights to make trade more inclusive, green, digital and competitive.

Filter

423 results
Sort by:

Publicado conjuntamente por el CCI, la OMC y la UNCTAD, este informe anual presenta las condiciones de acceso al mercado basadas en aranceles para mercancías impuestas por 164 miembros de la OMC y otros países. El informe contiene estadísticas agregadas de productos, aranceles impuestos y a...

Download

Publié conjointement par le CCI, l'OMC et la CNUCED, ce rapport annuel présente les conditions d'accès au marché des marchandises basées sur les droits de douane imposées par 164 membres de l'OMC et d'autres pays. Le rapport contient des statistiques agrégées sur les produits, les droits...

Download
Identifier le potentiel commercial intrarégional en Afrique de l'Ouest
Body lead

La Commission de la CEDEAO et le Centre du commerce international œuvrent à renforcer le développement durable de la région grâce à des outils d'information sur les marchés et à un appui aux petites entreprises.

Body

L'intégration commerciale et la compétitivité en Afrique de l'Ouest sont en deçà de leur potentiel. Selon le Forum économique mondial, les États membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) se classent parmi les pays les moins compétitifs au monde. Le Centre du commerce international (ITC) estime que plus de 2 milliards de dollars de potentiel commercial intrarégional pourraient être réalisés au cours des prochaines années, sous réserve d'investissements et de l'élimination des frictions du marché.

En raison des perturbations des chaînes de valeur mondiales dues aux crises récentes, les initiatives de développement régional ont pris de l'ampleur. La Commission de la CEDEAO et l'ITC ont invité plus de 60 responsables gouvernementaux de toute la région à une réunion de haut niveau des parties prenantes les 16 et 17 mai 2023 à Abidjan, en Côte d'Ivoire. L'objectif était de présenter deux projets parrainés par l'Union européenne (UE), à savoir l'Observatoire africain du commerce et l'Observatoire de la compétitivité en Afrique de l'Ouest, qui sont destinés à mettre la région sur la voie du développement durable grâce à des outils d'information commerciale, au renforcement des capacités et à l'appui aux entreprises.

L'Observatoire africain du commerce est l'un des cinq instruments nécessaires au succès de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), instaurée sous l'égide de l'Union africaine. Basé sur des données actualisées et fiables, cet outil en ligne permet aux décideurs politiques et aux entreprises de toute l'Afrique d'identifier, de comparer et de suivre les opportunités commerciales générées par l'intégration régionale et la ZLECAf. Les trois modules qui le composent (Comparaison, Exploration, et Suivi) fournissent aux entreprises africaines des informations commerciales sur les tendances, les opportunités et les conditions d'accès aux marchés. En outre, il offre des indicateurs liés au commerce qui permettent aux décideurs politiques et aux responsables gouvernementaux de suivre l'intégration commerciale régionale et l'impact de la ZLECAf sur leur économie. En fin de compte, l'Observatoire africain du commerce contribue à améliorer la couverture et la qualité des données commerciales en Afrique.

L'Observatoire de la compétitivité en Afrique de l'Ouest, élaboré dans le cadre du Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP), permet aux décideurs politiques et aux entreprises de prendre des décisions éclairées et d'engager des actions stratégiques pour améliorer la compétitivité et l'intégration régionale. Premier du genre, cet outil s'appuie sur les données collectées par l'Observatoire du commerce africain. En outre, son module sur la compétitivité s'appuie sur des données provenant de sources complémentaires pour fournir des informations complètes sur les performances et les moteurs de la compétitivité en Afrique de l'Ouest. Son module sur les chaînes de valeur régionales offre également des détails sur cette composante, y compris des informations sur les produits, les partenaires et les marchés. Enfin, son module de mise en relation commerciale facilite les relations entre les entreprises de la région afin de renforcer les chaînes de valeur de l'Afrique de l'Ouest et de promouvoir le commerce régional.

S'exprimant en amont de l'événement, le Directeur par intérim du commerce de la CEDEAO, Kolawole Sofola, a déclaré : « Alors que nous travaillons à renforcer les chaînes de valeur ouest-africaines et à favoriser l'intégration régionale et continentale, ces outils apporteront un éclairage et un appui précieux aux décideurs politiques et aux entreprises de la région. Nous sommes ravis de nous associer au Centre du commerce international dans le cadre de cette initiative qui, nous en sommes convaincus, pourrait transformer la façon dont nous faisons des affaires en Afrique de l'Ouest. »

Mondher Mimouni, Chef de la section Renseignements sur les marchés et le commerce de l'ITC, a ajouté : « Dans le cadre de la collaboration continue entre la CEDEAO et l'ITC pour promouvoir le commerce et la compétitivité en Afrique de l'Ouest, nous sommes ravis de partager ces ressources importantes avec nos parties prenantes estimées. L'Observatoire africain du commerce et l'Observatoire de la compétitivité en Afrique de l'Ouest contribueront grandement à améliorer le commerce et la compétitivité dans la région grâce à des prises de décision éclairées par des données factuelles. »

Enfin, Stéphane Bossard, Chef de la Délégation de l'UE en Côte d'Ivoire pour la coopération économique et commerciale, a conclu : « Nous pensons qu'un secteur privé fort et dynamique est un moteur essentiel de la croissance économique, de la création d'emplois et de la réduction de la pauvreté. Par conséquent, avec le programme WACOMP, nous avons fait de l'appui ciblé à la fois aux pays d'Afrique de l'Ouest et au secteur privé une priorité. »

 

À propos du programme WACOMP

Le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP) vise à appuyer des chaînes de valeur sélectionnées aux niveaux national et régional afin de promouvoir la transformation structurelle et un meilleur accès aux marchés régionaux et internationaux, tout en tenant compte des préoccupations sociales et environnementales. Son objectif global est de renforcer la compétitivité des pays d'Afrique de l'Ouest et d'améliorer leur intégration dans le système commercial à la fois régional et international.

Header color
Cyan
Announcement type
Region (for relations)
ITC Actualités
Une Gambie verte, un avenir vert
Body lead

Le Forum du commerce s'est entretenu avec Kemo Fatty, militant pour la justice sociale et le climat, acteur du changement mondial et directeur de l'organisation communautaire Green-Up Gambia, au sujet de son combat pour un avenir plus vert, plus sain et plus durable pour l'Afrique.

 

L'activiste est également ambassadeur de l'initiative panafricaine de la Grande Muraille Verte, et travaille avec l'organisation à but non lucratif Civic et l'Union africaine pour déployer l'initiative en Gambie grâce à un mouvement unique rassemblant écopreneurs, agriculteurs, éleveurs et pêcheurs.

Body

Comment Green-Up Gambia a-t-elle vu le jour ?

J'avais 16 ans quand j'ai réalisé que des milliers de jeunes Gambiens quittaient le pays pour émigrer en Europe, principalement vers les îles espagnoles des Canaries. Mon frère est parti quelques années plus tard pour ce même voyage.

Lorsqu'on demande aux gens les raisons de leur départ, il répondent toujours vouloir chercher des champs plus verts, des emplois, un pays plus productif, de manière à pouvoir vivre tout simplement. Les conditions de vie ici se dégradent saison après saison, et l'agriculture est devenue une véritable loterie. Qui pourrait leur en vouloir de partir ?

Je me suis porté volontaire auprès d'une organisation locale qui sensibilise les gens aux dangers de ce voyage. Mais cela n'a pas suffit – les gens perdent de plus en plus espoir, ils ne croient plus en leur propre pouvoir économique ni dans celui de la terre.

C'est alors que j'ai décidé qu'il fallait faire quelque chose pour éviter cet exode.

GreenUp Gambia
© Green-Up Gambia

Quelle est votre vision ?

Green-Up Gambia milite contre la migration en travaillant avec des jeunes et des femmes en agroécologie, en agroforesterie et en pratiques agricoles durables afin qu'ils puissent devenir résilients et, mieux encore, prospérer, et ce avec des émissions nettes nulles. Nous ravivons la richesse des sols et préservons la forêt naturelle de la Gambie pour que les gens puissent y rester.

Nous appuyons les entreprises sociales à travers le pays et essayons de décarboner les chaînes d'approvisionnement des entreprises pour lutter contre le dérèglement climatique. À ce propos, je crois que le meilleur moyen est d'adopter le modèle d'économie circulaire.

Kemo Fatty on the right, receiving a certificate for completing the International Visitor Leadership Programme

Comment aidez-vous les petites entreprises à cet égard ?

Avec l'appui du Centre du commerce international, nous avons formé plus de 40 jeunes entrepreneurs au développement de techniques de recyclage et de surcyclage pour leur entreprise.

Nous nous intéressons à la chaîne de valeur des déchets et nous les aidons à s'engager dans le commerce des déchets. Nous espérons également mettre en place un système complet de gestion des déchets avec les administrations locales afin de commencer à tirer davantage de valeur des déchets.

Il est choquant de voir les dégâts causés à nos écosystèmes par les déchets, en particulier par le plastique. Nous espérons que cette approche permettra de créer des « emplois verts » et de la richesse pour les communautés, tout en résolvant le problème le plus urgent de notre époque.

Je pense que nos efforts portent leurs fruits, car nous constatons des changements dans l'attitude des jeunes. Ils sont de plus en plus conscients des problèmes climatiques et commencent à adopter des approches plus respectueuses de l'environnement dans leurs activités, ce qui les rendra compétitifs à long terme.

GreenUp Gambia
© Green-Up Gambia

En quoi les effets du changement climatique influencent-ils votre travail ?

Le dérèglement climatique constitue une menace considérable pour l'écosystème de la Gambie et le cycle de production agricole du pays, ainsi que pour les conditions météorologiques. Mais tout le monde ne comprend pas l'ampleur de ces changements et le rôle qu'ils peuvent jouer pour enrayer la crise.

Au cours des dernières décennies, plus de 200 000 hectares ont été déboisés en Gambie, et plus de 100 000 hectares ont été perdus à cause de la désertification depuis 1998.

Au fil des ans, d'importantes pertes écologiques et économiques ont été attribuées au changement climatique, ce qui a accru la pression sur les ressources naturelles existantes et renforcé la montée des inégalités.

Quatre-vingt-dix pour cent des cultures sont alimentées par les eaux de pluie, et les changements climatiques affectent de plus en plus la population locale. Cependant, les agriculteurs comprennent mal le lien entre le dérèglement climatique, la déforestation et la désertification. Il s'agit notamment de restaurer les terres dégradées qui ont été abandonnées en raison d'une baisse de leur fertilité.

© Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification

En quoi l'initiative de la Grande Muraille Verte aide-t-elle dans la lutte contre le dérèglement climatique ?

Pendant longtemps, l'initiative de la Grande Muraille Verte a été supervisée uniquement par les pouvoirs publics, mais aujourd'hui, nous intégrons les communautés qui sont directement touchées.

Près de 15 ans plus tard, les progrès ont été plus lents que prévu : seuls 18 % de cette muraille verte ont été plantés.

Toutefois, l'idée au départ toute simple de dresser une barrière d'arbres à travers toute l'Afrique a évolué vers une ambition bien plus large : régénérer une région entière !

La Grande Muraille Verte est aujourd'hui une mosaïque d'initiatives locales qui, au-delà de la reconstitution des forêts naturelles, fournit de la nourriture grâce à une agriculture intelligente sur le plan climatique, crée des emplois verts, appuie les femmes pour qu'elles deviennent plus indépendantes, et reconstruit l'économie pour les jeunes générations.

L'initiative Green-Up Gambia a été appuyée par le programme Emplois, compétences et financement pour les femmes et les jeunes de Gambie, financé par le 11e Fonds européen de développement, et mis en œuvre par le Fonds d'équipement des Nations Unies (FENU) en collaboration avec le Centre du commerce international (ITC).

Header color
Green
Announcement type
Country (for relations)
Audience (for relations)
Focus area (for relations)
Geographic priority (for relations)
Entretien avec Kemo Fatty, Directeur de Green-Up Gambia
Una Gambia verde para un futuro verde
Body lead

Forum de Comercio charló con Kemo Fatty, activista por la justicia social y el clima, Global Changemaker y Director de la organización comunitaria Green-Up Gambia, sobre la lucha por un futuro más verde, saludable y sostenible para África.

 

El activista es también embajador de la iniciativa panafricana de la Gran Muralla Verde en la que trabaja en colaboración con la organización sin ánimo de lucro Civic y la Unión Africana y lidera la iniciativa en Gambia gracias a un movimiento de primera línea de ecoemprendedores, agricultores, pastores y pescadores.

Body

¿Cómo surgió Green-Up Gambia?

Cuando tenía 16 años, me di cuenta de que miles de jóvenes gambianos abandonaban el país para emigrar a Europa, sobre todo a las Islas Canarias, en España. Mi hermano partió de hecho años más tarde con el mismo rumbo.

Cuando se les pregunta por la razón de marcharse, la gente dice que buscan pastos más verdes, empleos, y en definitiva, un país productivo en el que poder vivir. La vida empeora cada estación y la agricultura se ha convertido en un auténtico juego de azar. Nadie podría culparles de querer marcharse.

Trabajé como voluntario en una organización local en la que concienciábamos sobre los peligros de este viaje, pero esto no era suficiente, ya que la gente perdía cada vez más la esperanza en su único poder económico, la tierra.

Fue entonces cuando decidí que teníamos que hacer algo para evitar este éxodo.

GreenUp Gambia
© Green-Up Gambia

¿Cuál es su visión?

Green-Up Gambia aboga por reducir la emigración y para ello trabaja con los jóvenes y las mujeres en la agroecología, la agrosilvicultura y las prácticas agrícolas sostenibles para que puedan aumentar su resiliencia y prosperar, todo ello con cero emisiones netas. Reactivamos la fuerza de los suelos y preservamos el bosque natural de Gambia para que la gente pueda quedarse.

Apoyamos a las empresas sociales de todo el país e intentamos descarbonizar las cadenas de suministro de las empresas para luchar contra el cambio climático. Y creo que la mejor manera es por medio de la adopción de un modelo económico circular.

Kemo Fatty, a la derecha, recibe un certificado por haber completado el Programa de Liderazgo para Visitantes Internacionales.

¿Cómo ayuda a las pequeñas empresas en este sentido?

Con el apoyo del Centro de Comercio Internacional, hemos formado a más de 40 jóvenes emprendedores en el desarrollo de técnicas de reciclaje y suprarreciclaje para sus negocios.

Nos dirigimos a la cadena de valor de los residuos y les ayudamos a participar también en el comercio de residuos. Asimismo, esperamos establecer un sistema integral de gestión de residuos con los gobiernos locales para empezar a obtener más valor de estos.

Es estremecedor ver el daño que causan los residuos a nuestros ecosistemas, y sobre todo el plástico. Esperamos que este enfoque cree «empleos ecológicos» y riqueza para las comunidades, al tiempo que resuelve el problema más acuciante de nuestro tiempo.

Creo que nuestros esfuerzos están dando fruto porque estamos viendo cambios en la actitud de los jóvenes. Cada vez son más conscientes del clima y empiezan a emplear enfoques más ecológicos en sus negocios, lo que les hará competitivos a largo plazo.

GreenUp Gambia
© Green-Up Gambia

¿Cómo cree que influyen los efectos del cambio climático en su trabajo?

El cambio climático es una amenaza importante para el ecosistema de Gambia y el ciclo de producción agrícola del país, así como para los patrones meteorológicos. Pero no todo el mundo entiende estos cambios ni sabe cuál es su papel para frenar la crisis.

En las últimas décadas, más de 200.000 hectáreas han sido deforestadas en Gambia y,d desde 1998, se han perdido más de 100.000 hectáreas por la desertificación.

A lo largo de los años, se han atribuido importantes pérdidas ecológicas y económicas al cambio climático. Esto ha incrementado la presión sobre los recursos naturales existentes y el aumento de las desigualdades.

El 90 % de los cultivos son de secano y el clima sigue afectando a la población local. Sin embargo, los agricultores ven aún la relación entre el cambio climático, la deforestación y la desertificación. Esto incluye la restauración de tierras degradadas que han sido abandonadas debido a la disminución de su fertilidad.

© Convención de las Naciones Unidas de Lucha contra la Desertificación

¿Cómo entra en juego la Iniciativa de la Gran Muralla Verde para combatir el cambio climático?

Durante mucho tiempo, la Iniciativa de Primera Línea de la Gran Muralla Verde ha estado supervisada únicamente por el mundo político, pero ahora estamos incorporando a las comunidades directamente afectadas.

Casi 15 años después, el progreso ha sido más lento de lo esperado, con sólo alrededor del 18 % del muro plantado.

Pero la idea de una simple barrera de árboles a través de África se ha convertido en algo más grande: regenerar toda una región.

La Gran Muralla Verde es ahora un mosaico de iniciativas locales que, más allá de reconstruir los bosques naturales, proporcionan alimentos gracias a una agricultura respetuosa con el medio ambiente, crean empleos ecológicos, apoyan a las mujeres para que sean más independientes y reconstruyen la economía para las generaciones más jóvenes.

Green-Up Gambia contó con el apoyo del Programa «Empleo, competencias y financiación para las mujeres y los jóvenes de Gambia», financiado por el 11º Fondo Europeo de Desarrollo y puesto en marcha por el Fondo de las Naciones Unidas para el Desarrollo de la Capitalización (FNUDC) en colaboración con el Centro de Comercio Internacional (ITC).

Header color
Green
Announcement type
Country (for relations)
Geographic priority (for relations)
Entrevista con Kemo Fatty, Director de Green-Up Gambia
La fève fait son chemin : Exporter vers l'Union européenne
Body lead

Une marque de chocolat des Philippines, opérant de l'arbre à la tablette, fait profiter sa communauté de son succès sur les marchés européens.

Body

 

En 2013, alors qu'elle terminait son cursus universitaire à Chicago, Kelly Go a dégusté un chocolat artisanal américain fait à partir de cacao d'origine philippine – et elle y a pris goût !

À partir de là, ses aspirations professionnelles se sont précisées. Son diplôme en poche, elle a voulu en apprendre davantage sur cet artisanat. Elle s'est donc inscrite à l'école Cordon Bleu à Paris pour suivre une formation en arts culinaires, ce qui lui a permis de développer ses connaissances et ses compétences dans le domaine du commerce alimentaire.

 

L'amour de la cuisine, de la culture et du chocolat l'a ensuite emmené en Allemagne où elle a approfondi son expertise dans la production de chocolat industriel.

En 2015, de retour au pays, elle a constitué avec son meilleur ami, Mark Ocampo, une société enregistrée auprès de la Securities and Exchange Commission, et s'est lancée dans l'aventure.

Pour nous, le potentiel d'élever le marché du chocolat fin aux Philippines était évident, et en plus, il nous offrait l'opportunité de poursuivre notre rêve commun de rentrer au pays et d'y apporter notre contribution.
Do not show
Philippines Auro
Kelly Go et deux de ses employées d'AURO
© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

La production responsable va de pair avec les affaires

Leur entreprise, Auro Chocolate, a finalement été lancée en 2017 en tant que marque de chocolat opérant de l'arbre à la tablette. Kelly et Mark ont en outre assumé leur ambition de constituer une entreprise sociale en introduisant des programmes de développement communautaire et des primes supérieures au prix de la marchandise pour soutenir les agriculteurs.

En s'approvisionnant directement auprès des producteurs de fèves, Auro promeut la durabilité. Elle travaille directement avec les agriculteurs locaux pour cultiver des fèves de cacao fines, améliorer les ingrédients et élargir les produits de détail avec des saveurs tropicales uniques et audacieuses, telles que la mangue séchée.

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

Comptant 20 employés au démarrage, elle emploie aujourd'hui plus de 100 salariés pour assurer l'exportation de ses produits vers l'Union européenne (UE) et d'autres pays initiée en 2018.

« Nous nous impliquons dans chaque étape du processus en travaillant constamment avec nos agriculteurs partenaires pour leur permettre de produire des fèves de cacao de qualité fine qui répondent aux normes de qualité internationales. »

Video

19 January 2023

Percée sur les marchés européens

De nombreux défis devaient d'abord être relevés avant de pouvoir exporter vers l'UE.

« Lors des événements de vente, les gens s'interrogeaient sur la qualité de nos produits, car les chocolats des Philippines ne sont pas courants. »

Pour gagner la confiance des consommateurs à l'égard des produits fabriqués aux Philippines à partir de cacao cultivé localement, Kelly a du s'informer sur les procédures obligatoires.

Le Bureau de commercialisation des exportations (EMB) du Département du commerce et de l'industrie (DTI) des Philippines a aidé Auro à remplir les conditions réglementaires obligatoires pour l'exportation vers l'UE. Le Centre des missions et expositions commerciales internationales (CITEM) a également appuyé l'entreprise pour monter un stand philippin lors de foires commerciales internationales majeures, telles que le Salon du chocolat en France.

Ces initiatives ont fait des merveilles pour le cacao fin d'Auro.

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Philippines Auro
© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

Le SPG+ : un vrai plus pour l'entreprise

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

Les ventes ont augmenté de près de 200 % depuis la pandémie de COVID-19. Auro exporte directement dans plus de 15 pays et plus de 40 chocolatiers européens utilisent ses fèves de cacao pour fabriquer du chocolat d'origine philippine.

Kelly a été ravie d'apprendre que des chocolatiers de l'UE utilisaient ses produits chocolatés. Le fait de pouvoir exporter vers l'UE signifie que le cacao philippin peut rivaliser au niveau mondial avec d'autres marques de chocolat réputées.

Le système de préférences généralisées Plus (SPG+) de l'UE vise à inciter les pays en développement à poursuivre le développement durable en exonérant leurs produits de droits d'importation sur son marché. Cette mesure a permis à Kelly de fixer des prix compétitifs pour ses produits par rapport à d'autres marques.

Kelly est fière que ses produits côtoient d'autres marques de renommée internationale. Cette réputation lui permet de poursuivre le développement de son entreprise avec ses partenaires de l'UE.

En outre, l'augmentation des ventes a profité à Kelly et à ses salariés.

« Grâce au statut SPG+, nous faisons désormais partie du marché international des fèves de cacao, ce qui a entraîné une augmentation de nos ventes. Cette demande croissante pour les fèves de nos communautés agricoles partenaires génère davantage de revenus pour ces communautés, et fournit un marché stable pour leur cacao. »

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Nos barres chocolatées se vendent bien grâce au SPG+, qui nous ouvre l'accès au marché de l'UE.
Do not show
Philippines Auro
© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

Pour aller de l'avant

Sous la direction de Kelly, les chocolats d'Auro se dotent d'objectifs plus élevés.

« Nous avons des projets exaltants. Du côté agricole, nous allons lancer davantage d'initiatives communautaires pour venir compléter notre programme actuel de production de cacao. Nous élargissons également nos sources d'approvisionnement afin d'introduire de nouvelles origines de chocolats fantastiques. Nous envisageons également d'adopter des pratiques et des matériaux plus respectueux de l'environnement tout au long de la chaîne d'approvisionnement. »

Elle souhaite également passer un message inspirant aux exportateurs philippins en herbe :

« Ne soyez pas intimidés lorsque vous déposez une demande dans le cadre du SPG+. Le DTI est là pour vous assister tout au long de la procédure et vous aider à commercialiser votre marque. C'est aussi une excellente occasion pour vos produits de pénétrer le marché européen et de s'y développer. »

Philippines Auro
© Leonard Reyes/Centre du commerce international/Fairpicture

Le projet ARISE Plus Philippines permet aux exportateurs philippins de profiter du Système de préférences généralisées Plus (SPG+) et des privilèges commerciaux qui l'accompagnent pour accéder au marché de l'Union européenne (UE). Le projet appuie les relations commerciales globales entre l'UE et les Philippines ainsi que les politiques liées au commerce.

ARISE Plus Philippines est un projet du Gouvernement des Philippines, avec le Département du commerce et de l'industrie (DTI) comme partenaire principal, ainsi que le Département de l'agriculture (DA), l’Administration des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA), le Bureau des douanes (BOC), le Département des sciences et de la technologie (DOST), ainsi que le secteur privé. Il est financé par l'UE, et sa partie technique est supervisée par l'ITC.

Header color
Cyan
Announcement type
Country (for relations)
Waqas Rafique, Centre du commerce international
Contextual tags
El cacao pide pista: exportaciones a la Unión Europea
Body lead

Una marca filipina de chocolate, que se encarga de todo el proceso de fabricación, del árbol a la tableta, hace que su comunidad se beneficie de su éxito en los mercados europeos. 

Body

En 2013, cuando estaba a punto de terminar sus estudios universitarios en Chicago, EE. UU, Kelly Go probó un chocolate artesano estadounidense fabricado con cacao de origen filipino.

Desde ese momento, sus aspiraciones profesionales empezaron a tomaron forma. Tras su graduación, decidió ampliar sus conocimientos sobre el cacao y se matriculó en el instituto Le Cordon Bleu de París, en el que obtuvo un Diploma en Artes Culinarias. Con esta formación especializada, mejoró aún más sus conocimientos y habilidades sobre el negocio de la alimentación.

 

Su amor por la comida, la cultura y el chocolate dirigió sus pasos hacia Alemania, donde profundizó sus conocimientos sobre la producción industrial del chocolate.

Cuando regresó a casa en 2015, registró su empresa en la Comisión de Valores y Bolsa y se asoció con su mejor amigo, Mark Ocampo, para este nuevo proyecto.

Juntos, vimos el potencial de elevar el mercado del chocolate fino en Filipinas y, al mismo tiempo, una oportunidad para alcanzar nuestro sueño de volver a casa y contribuir a mejorar nuestra comunidad.
Do not show
Philippines Auro
Kelly Go y dos empleadas de Auro
© Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

La producción responsable va de la mano de los negocios

En 2017, lanzaron Auro Chocolate, una marca que se encarga de todos los procesos de la elaboración del chocolate, del árbol a la tableta, y que a la vez es una empresa social que pone en marcha programas de desarrollo comunitario y de primas que están por encima del precio de los productos básicos para apoyar a los agricultores.

Al abastecerse de forma directa, Auro promueve la sostenibilidad. Además, trabaja con los productores locales para cultivar granos de cacao fino, mejorar los ingredientes y ampliar el mercado de productos al por menor con sabores tropicales únicos y atrevidos, como el mango deshidratado.

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

De un equipo de 20 personas, la empresa ha pasado a contar con más de 100 empleados que trabajan para exportar sus productos a la Unión Europea (UE) y a otros países desde 2018.

«Nos implicamos en cada paso del proceso y trabajamos de forma continua con nuestros agricultores asociados en la producción de granos de cacao de gran calidad que cumplan con las normas de calidad internacionales».

Video

19 January 2023

Entrada en los mercados europeos

La empresa se enfrentó a varios retos antes de poder materializar con éxito las exportaciones a la UE.

«En las ferias, la gente preguntaba por la calidad de nuestros productos, ya que no es habitual encontrar chocolates de Filipinas».

Para ganarse la confianza de los consumidores respecto a los productos de chocolate fabricados en filipinas con cacao del país, Kelly debe estar al corriente de los requisitos de procedimiento obligatorios.

La Oficina de Comercialización de las Exportaciones (EMB) del Departamento de Comercio e Industria (DTI) de Filipinas ayudó a Auro a cumplir los requisitos reglamentarios obligatorios para poder exportar a la UE. El Centro de Exposiciones y Misiones Comerciales Internacionales (CITEM) apoyó además a la empresa con la organización de los stands del país en varias ferias internacionales clave como el Salon du Chocolat de Francia.

Estas iniciativas hicieron maravillas con el cacao fino de Auro.

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Auro Filipinas
Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

Una ventaja para la empresa: SPG+

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture

Las ventas han aumentado casi un 200 % desde la irrupción de la pandemia de COVID-19. Auro exporta directamente a más de 15 países y más de 40 chocolateros europeos utilizan los granos de cacao fino de la empresa para elaborar chocolate de origen filipino.

A Kelly le hizo muy feliz saber que los chocolateros de la Unión Europea utilizaban los productos de chocolate de su empresa. Las exportaciones a la Unión Europea ha n significado que el cacao filipino pueda competir a nivel mundial con otras marcas de chocolate reconocidas.

El Sistema de Preferencias Generalizadas (SPG+) de la UE elimina los derechos de importación de los productos que llegan al mercado comunitario procedentes de países en desarrollo, por lo que Kelly pudo fijar precios competitivos para sus productos frente a otras marcas.

Kelly se enorgullece de que sus productos puedan estar al lado de otras marcas conocidas en los mercados internacionales, ya que esto permite que su empresa siga aumentando el negocio con sus socios de la UE.

Además, el crecimiento de las ventas ha beneficiado a Kelly y a quienes trabajan en su empresa.

«Gracias al SPG+, hemos entrado a formar parte del mercado internacional de granos de cacao, lo que se ha traducido en un aumento de nuestras ventas. Esto significa que existe una demanda creciente de los granos cosechados por nuestra comunidad agrícola asociada, lo que genera más ingresos para ellos, al tiempo que les proporciona un mercado estable para su cacao».

Philippines Auro
© Leonard Reyes/International Trade Centre/Fairpicture
Las ventas de nuestras tabletas de chocolate van bien gracias al SPG+, que sirve de apoyo a la entrada en el mercado de la UE.
Do not show
Auro Filipinas
Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

El futuro

Auro está dispuesta a alcanzar cotas más altas bajo la dirección de Kelly.

«Tenemos planes apasionantes. En cuanto a las explotaciones agrícolas, vamos a lanzar más iniciativas para la comunidad interrelacionadas con nuestro actual programa de cacao. También estamos ampliando nuestro abastecimiento para introducir nuevos y excitantes orígenes de cacao. Asimismo, está en proyecto el cambio a prácticas y materiales más respetuosos con el medio ambiente en toda la cadena de suministro».

Kelly deja un mensaje inspirador para los emprendedores filipinos que aspiran a exportar:

«No se sientan intimidados cuando envíen sus solicitudes para acceder al SPG+. El DTI está ahí para asistirles durante todo el proceso de solicitud y ayudarles a que sus marcas sean comercializables. También es una gran oportunidad para que sus productos se introduzcan y crezcan en el mercado de la UE».

Auro Filipinas
Leonard Reyes/Centro de Comercio Internacional/Fairpicture

El proyecto ARISE+ Filipinas permite a los exportadores filipinos aprovechar el acceso a los mercados de la Unión Europea (UE) y los privilegios comerciales concedidos en el marco del Sistema de Preferencias Generalizadas Plus (SPG+) y apoya las relaciones comerciales generales entre la Unión Europea y Filipinas, así como las políticas comerciales.

ARISE+ Filipinas es un proyecto del Gobierno de Filipinas, con el Departamento de Comercio e Industria como socio principal junto con el Departamento de Agricultura, la Administración de Alimentos y Medicamentos de Filipinas, la Oficina de Aduanas, el Departamento de Ciencia y Tecnología, y el sector privado. El proyecto está financiado por la Unión Europea (UE) y el Centro de Comercio Internacional (ITC) es la agencia técnica del proyecto.

Header color
Cyan
Announcement type
Country (for relations)
Focus area (for relations)
Waqas Rafique, Centro de Comercio Internacional
Contextual tags
La respuesta «azul» a un clima empresarial próspero
Body lead

¿Cómo se construye una economía oceánica de éxito para las pequeñas empresas de Barbados? 

Por medio de la colaboración, los datos, la innovación y la tecnología. Una nueva receta para el éxito. 

Body

Por Beverley Alleyne, Gerente del departamento de economía oceánica, Barbados Investment and Development Corporation

Las impresionantes estadísticas sobre la economía azul, sus aportaciones económicas y su creciente potencial están marcando los debates en todo el mundo. De hecho, los océanos aportan 1,5 billones de dólares de EE. UU. anuales de valor añadido a la economía mundial, cifra que podría alcanzar los 3 billones para el año 2030. Se calcula que en 2020, 58,5 millones de personas trabajaban en los sectores de la pesca primaria y la acuicultura. Además, los océanos proporcionan la principal fuente de proteínas para más de mil millones de personas en todo el mundo.

La economía azul es la respuesta a la prosperidad económica del futuro. Es por ello por lo que los recursos internacionales están dirigiéndose hacia aquellas iniciativas azules que apoyan el comercio y la actividad económica.

Economía azul
© Shutterstock

El crecimiento económico de las empresas en la economía azul

La Barbados Investment and Development Corporation (Corporación de inversión y de desarrollo de Barbados, BIDC) ha instaurado la Economía Oceánica como uno de sus tres pilares corporativos estratégicos, que tiene el objetivo de iniciar y facilitar soluciones industriales transformadoras para el crecimiento económico exitoso de las empresas dentro de la economía azul.

Esto requiere de una red de partes interesadas, de iniciativas originales de desarrollo de las capacidades para apoyar la innovación empresarial en relación a las necesidades del mercado y de recursos financieros para respaldar estos esfuerzos.

La BIDC, como organización de apoyo empresarial nacional, aspira a aumentar la competitividad internacional de las empresas y contribuir así a la diversificación económica, la prosperidad y el bienestar social para todos mediante el aumento de las exportaciones, la creación de empleo y las nuevas inversiones. Pero, ¿cómo se crea un entorno en el que puedan crearse pequeñas empresas innovadoras y competitivas que ofrezcan soluciones significativas en la economía azul? 

Blue Economy Barbados
© Shutterstock

Respuestas a los retos de las pequeñas empresas

Una de nuestras iniciativas que busca dar con la respuesta a este reto fue Call for Solutions, en colaboración con Compete Caribbean. Al tiempo que se intentaba estimular la innovación centrada en las necesidades reales del mercado en el espacio azul, se animó a los encuestados del sector privado a utilizar tecnología puntera siempre que fuera posible en la exploración pesquera, el desarrollo de la maricultura, la biotecnología marina, la gestión de residuos, la recogida de datos o el sector energético. 

Dos empresas dedicadas a la gestión de datos y a la pesca fueron preseleccionadas para recibir asistencia técnica y financiera adicional.

La iniciativa puso de relieve las necesidades urgentes de las pequeñas empresas en materia de acceso a la información para localizar los recursos pertinentes, ya sean recursos humanos cualificados o insumos de producción; de datos transversales para aprovechar oportunidades comerciales latentes; de comprensión de las tendencias y la evolución del mercado para poder ajustar sus modelos de negocio en consecuencia; y de comprensión de su entorno normativo. Este último punto es especialmente pertinente en el caso de la economía azul, donde cada vez se requiere una mayor normativa gubernamental para equilibrar la creciente demanda de recursos oceánicos que podrían tener efectos nocivos sobre los arrecifes, los recursos, la biodiversidad y la integridad del medio ambiente.

Son las organizaciones de apoyo empresarial regionales y otras partes interesadas a las que les corresponde abordar estas necesidades.

Economía azul en Barbados
© Shutterstock

Lecciones aprendidas: la innovación y la tecnología como medios para la expansión de la economía azul

Blue Economy Barbados
© Shutterstock

La innovación en la economía azul exige disponer de competencias especializadas, conocimientos científicos e ingenio, sobre todo si se tiene en cuenta todo lo que queda por explorar en las aguas del Caribe, por ejemplo la energía de las olas, la bioprospección marina, la maricultura o la reutilización del sargazo. 

Existen grandes oportunidades para que la innovación y la tecnología hagan avanzar el comercio en el sector y, al mismo tiempo, aborden la causa de la sostenibilidad y la gestión adecuada de los recursos oceánicos: desde la trazabilidad del pescado hasta la vigilancia de los arrecifes, pasando por la oferta de ocio turístico, la extracción de datos y la investigación para ayudar a fundamentar las políticas y la normativa.

 

Sin embargo, es imperativo que las nuevas políticas, programas y normativas sigan el ritmo de la innovación y del rápido avance de la tecnología.  Si estas dejan atrás a la infraestructura en la que operan, la propia innovación y el avance tecnológico se verán obstaculizados.

El sector privado desempeña un papel importante al colaborar con los gobiernos para ayudar a articular políticas y normativas sobre las tecnologías emergentes. Las partes interesadas de la economía azul deben trabajar en sincronía para alcanzar los objetivos de una forma colaborativa. El objetivo global del crecimiento industrial y la capacidad comercial debe ser el de todo el sistema y no el de una única entidad dedicada.

Blue economy Barbados
© Shutterstock
Economía azul en Barbados
© Cruben M Ramos/Shutterstock

Queda mucho trabajo por hacer para que las organizaciones de apoyo empresarial como la nuestra y las agencias intergubernamentales hagan realidad la economía azul. Calls for Solutions debe continuar trabajando en áreas muy específicas. 

La inversión y los recursos financieros focalizados deben apoyar la investigación científica, la formación técnica de alto nivel y la expansión de los conocimientos, especialmente en aquellas áreas que no están lo suficientemente atendidas en la economía azul, al tiempo que se alinean con las prioridades nacionales y los Objetivos de Desarrollo Sostenible de la ONU. 

 

De este modo, cabe esperar un consiguiente aumento de innovadores con experiencia empresarial y de pequeñas empresas mejor equipadas para introducir en el mercado nuevos bienes y servicios «azules» que contribuyan a la diversificación económica, la creación de empleo y el avance económico junto al bienestar para todos.

 

Header color
Cyan
Announcement type
Country (for relations)
Region (for relations)
ITC Noticias
La réponse « bleue » à un climat d'affaires florissant
Body lead

Les ingrédients d'une économie océanique prospère pour les petites entreprises de la Barbade : collaboration, données, innovation et technologie. La recette du succès !

Body

Par Beverley Alleyne, Responsable de l'économie océanique, Barbados Investment and Development Corporation

 

.

Le monde entier s'émerveille des statistiques impressionnantes générées par l'économie bleue, de ses contributions économiques et de son potentiel en plein essor. De fait, l'exploitation des océans rapporte 1 500 milliards de dollars par an en valeur ajoutée à l'économie globale, et ce chiffre pourrait atteindre 3 000 milliards de dollars d'ici 2030. L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estime qu'en 2020 près de 58,5 millions de personnes étaient employées dans le seul secteur de la pêche primaire et de l'aquaculture. Par ailleurs, les océans constituent la principale source de protéines pour plus d'un milliard de personnes dans le monde.

 

La conviction que l'économie bleue est la réponse à la prospérité économique future est désormais bien établie, et des ressources internationales sont à présent allouées à des initiatives bleues qui appuient ce type de commerce et d'activité économique.

Économie bleue
© Shutterstock

La croissance économique du secteur privé dans l'économie bleue

Parmi les trois piliers dont s'est doté la Barbados Investment and Development Corporation (BIDC) figure celui consacré à l'économie océanique. L'objectif est d'initier et de faciliter des solutions industrielles transformatrices qui permettront aux entreprises de connaître une croissance économique dans le cadre de l'économie bleue.

La réalisation de cet objectif requiert un réseau de parties prenantes, des initiatives originales de renforcement des capacités pour appuyer l'innovation commerciale autour des besoins du marché, et des ressources financières pour appuyer ces efforts.

En tant qu'organisation nationale d'appui aux entreprises, le mandat de la BIDC est de créer des entreprises compétitives au niveau international, pouvant contribuer à la diversification économique, à la prospérité et au bien-être social de tous grâce à l'augmentation des exportations, à la création d'emplois et à de nouveaux investissements. La question est de savoir comment créer un environnement propice à des petites entreprises innovantes et compétitives, qui leur permette d'apporter des solutions significatives en faveur de l'économie bleue.

Blue Economy Barbados
© Shutterstock

Répondre aux défis des petites entreprises

L'une de nos initiatives visant à répondre à ce défi est l'Appel aux solutions, lancé en collaboration avec Compete Caribbean. L'idée est de stimuler l'innovation axée sur les besoins réels du marché dans l'espace bleu, en invitant les répondants du secteur privé à utiliser, lorsque c'est possible, des technologies de pointe pour développer la pêche, la mariculture, la biotechnologie marine, la gestion des déchets, la collecte de données, et renforcer le secteur de l'énergie.

L'appel a permis de présélectionner deux entreprises travaillant dans le domaine de la gestion des données et de la pêche, qui vont bénéficier d'une assistance technique et financière.

L'initiative a également mis en évidence les besoins urgents des petites entreprises à de multiples niveaux : l'accès à l'information afin de localiser les ressources pertinentes, qu'il s'agisse de ressources humaines qualifiées ou d'intrants de production ; la disponibilité de données transversales permettant d'identifier les opportunités commerciales latentes ; la compréhension des tendances du marché et de son évolution afin de pouvoir adapter le modèle d'entreprise ; et la compréhension de l'environnement réglementaire. Ce dernier point est particulièrement crucial dans le cadre de l'économie bleue où l'instauration de réglementations gouvernementales est indispensable pour équilibrer la demande croissante envers les ressources océaniques et éviter les effets potentiellement délétères sur les récifs, les ressources, la biodiversité, et l'intégrité de l'environnement.

Il incombe aux organisations régionales d'appui aux entreprises et aux autres parties prenantes qui les appuient de répondre à ces besoins.

Économie bleue Barbade
© Shutterstock

Innovation et technologie comme moyens d'expansion de l'économique bleue : enseignements

Blue Economy Barbados
© Shutterstock

L'innovation dans l'économie bleue exige des compétences spécialisées, des connaissances scientifiques et de l'ingéniosité, d'autant plus que de nombreux aspects des océans des Caraïbes sont encore sous-explorés voire inexplorés, comme l'énergie houlomotrice, la bioprospection marine, la mariculture, la réutilisation des sargasses.

Cet environnement offre des opportunités exaltantes en matière d'innovation et de technologie pour faire progresser le commerce tout en abordant la question de la durabilité et de la bonne gestion des ressources océaniques – de la traçabilité des poissons à la surveillance des récifs, des offres de divertissement touristique à l'extraction de données et à la recherche pour éclairer l'élaboration de politiques et de réglementations.

Il est toutefois impératif que les nouvelles politiques, les nouveaux programmes et les nouvelles réglementations suivent le rythme des innovations et des progrès rapides de la technologie, car s'ils se laissent distancer, les infrastructures deviendront des entraves à l'innovation et aux progrès technologiques que nous cherchons justement à encourager.

À cet égard, le secteur privé joue un rôle essentiel dans la collaboration avec les gouvernements pour aider à formuler des politiques et des réglementations sur les technologies émergentes. L'ensemble des parties prenantes de l'économie bleue doit être synchronisé afin de réaliser en collaboration ce qui ne peut être réalisé de manière compartimentée. L'objectif global vise la croissance industrielle et la capacité commerciale, et à ce titre doit être l'affaire de l'ensemble et non d'une entité spécialisée et isolée.

Blue economy Barbados
© Shutterstock
Économie bleue Barbade
© Cruben M Ramos/Shutterstock

Il reste encore beaucoup à faire pour que les organisations d'appui aux entreprises telles que la nôtre et les agences intergouvernementales réalisent le potentiel vanté de l'économie bleue. L'initiative Appel aux solution doit donc se poursuivre dans des domaines fortement ciblés.

Des ressources financières et des investissements dédiés doivent venir appuyer la recherche scientifique, la formation technique de haut niveau et l'expansion des connaissances, en particulier dans les domaines mal desservis de l'économie bleue, tout en s'alignant sur les priorités nationales et les objectifs de développement durable des Nations Unies.

Ce faisant, l'augmentation concomitante du nombre d'innovateurs technologiques et de petites entreprises mieux équipées deviendra une réalité et permettra de mettre sur le marché de nouveaux biens et services « bleus », contribuant ainsi à la diversification économique, à la création d'emplois et au progrès économique, tout en s'assurant du bien-être de tous.

Header color
Cyan
Announcement type
Country (for relations)
Region (for relations)
Focus area (for relations)
ITC Actualités
Pequeñas pero poderosas - Las empresas en la transición hacia una economía ecológica
Body lead

Las pequeñas empresas tienen un enorme potencial para impulsar la transición hacia una economía ecológica, pero corren el riesgo de quedarse al margen.

Body

Se está acelerando la transición hacia una economía más ecológica. Numerosos países de todo el mundo están viendo las oportunidades de un modelo económico basado en los recursos renovables, el crecimiento sostenible y un mayor alineamiento con la naturaleza y el bienestar humano. Existe un clamor por parte de los ciudadanos y de los científicos para que se actúe y se aborde la crisis climática y otros retos medioambientales acuciantes sin que afecte al crecimiento de la economía.

El Secretario General de la ONU, António Guterres, ha hecho un llamamiento a una «revolución de las energías renovables» y a «[reasignar] las subvenciones a los combustibles fósiles a las personas vulnerables que quieran participar en la economía ecológica». En la Green Economy Coalition (GEC), no podemos estar más de acuerdo y consideramos que las microempresas y las pequeñas y medianas empresas (MIPYME) son actores poderosos de este nuevo modelo económico.

Como mostramos en nuestro nuevo informe con Finance Watch, las pequeñas empresas representan hasta el 90 % de los puestos de trabajo en muchos países (especialmente en las economías emergentes), y contribuyen entre un cuarto y más de la mitad de toda la actividad económica.

Con todo, las pequeñas empresas se ven excluidas involuntariamente de la participación en la economía ecológica por su falta de acceso a la financiación, la falta de reconocimiento del valor social y medioambiental que aportan y el recurso a las exenciones de las normas medioambientales, lo que conduce a una carrera cuesta abajo en la que las empresas ecológicas locales tienen dificultades para competir.

© Aiman Baser. Unsplash.

Las empresas locales y ecológicas desempeñan un papel importante en todo el mundo

La Green Economy Coalition ha unido a las asociaciones y voces de todo el mundo con el objetivo de defender el papel de las empresas ecológicas locales.

La GEC trabaja desde 2009 para promover una nueva visión de la economía ecológica a escala nacional y mundial. Hemos reunido a los actores de base y a las empresas ecológicas más pequeñas, a quienes llamamos «empresas ecológicas locales», para dar forma a nuevos enfoques de la inversión ecológica que puedan garantizar que los fondos y las oportunidades lleguen a estos actores.

La Declaración de Delhi de 2020 tipifica el enfoque que adoptamos, así como los mensajes que empiezan a escuchar los encargados de formular políticas, que ven el potencial de lo pequeño y lo ecológico para hacer realidad la transición ecológica. Sin embargo, para tener éxito necesitamos asociaciones y socios como el Centro de Comercio Internacional para garantizar que se escuchan los mensajes adecuados.

© Anton Luzhkovsky. Unsplash.
GreenToCompete

Una cuestión de confianza, financiación y políticas propicias

Los gobiernos deben generar confianza, revertir los déficits de financiación y crear políticas propicias para aprovechar todo el potencial de las pequeñas empresas ecológicas.

En la publicación «Financing Local Green Enterprises: Closing the funding gap for sustainable MSMEs in developing countries» (2022), Finance Watch y la GEC abogan por tres conjuntos de recomendaciones para volver a incluir a las MIPYME ecológicas (o a las que están en proceso de ecologizarse) en los debates.

Los gobiernos deben desarrollar «planes maestros» que aborden de forma conjunta la confianza, la información y la capacidad, y el ecosistema financiero.

  1. Confianza - los gobiernos y las instituciones financieras deberían garantizar que las pequeñas empresas puedan obtener capital con mayor facilidad para acceder a la financiación, así como trabajar para mejorar los sistemas de garantía de créditos con el fin de incentivar las actividades ecológicas.
  2. Información y capacidad - los gobiernos deberían mejorar las capacidades de las empresas ecológicas y estudiar el estatus legal de sus formas de negocio, proporcionar condiciones crediticias favorables y crear agencias de ventanilla única para las pequeñas empresas.
  3. Ecosistema financiero - los gobiernos deberían potenciar el ecosistema financiero para las empresas ecológicas y ordenar a las instituciones financieras de desarrollo y a los bancos que entren en este espacio, se replanteen los préstamos de microcréditos y cambien la forma de contabilizar el gasto público en apoyo a las pequeñas empresas.
Header color
Green
Announcement type
Chris Hopkins, Responsable de Política Económica, Green Economy Coalition
Petites mais puissantes – Les entreprises et la transition vers l'économie verte
Body lead

Les petites entreprises ont un énorme potentiel pour suralimenter la transition vers l'économie verte, mais elles risquent d'être laissées sur la touche.

Body

La transition vers une économie plus verte s'accélère. Les pays du monde entier comprennent parfaitement les opportunités d'un modèle économique qui repose sur des ressources renouvelables, une croissance durable et un alignement plus prononcé avec la nature et le bien-être humain. Les citoyens et les scientifiques réclament à cor et à cri que l'on agisse et que l'on s'attaque à la crise climatique et aux autres défis environnementaux urgents, alors même que les économies poursuivent leur croissance.

António Guterres, Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, a appelé à une « révolution des énergies renouvelables », et à « transférer les subventions dédiées aux combustibles fossiles vers les personnes vulnérables qui veulent s'engager dans l'économie verte ». À la Coalition pour une économie verte (GEC, Green Economy Coalition), nous adhérons corps et âme à cette déclaration – et nous voyons les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) comme les puissants acteurs de ce nouveau modèle économique.

Comme nous le montrons dans notre nouveau rapport, publié conjointement avec Finance Watch, les petites entreprises représentent jusqu'à 90 % des emplois dans de nombreux pays (notamment les économies émergentes), et contribuent entre un quart et plus de la moitié de toute l'activité économique.

Pourtant, les petites entreprises sont involontairement écartées de la participation à l'économie verte – en raison du manque d'accès au financement, du manque de reconnaissance de la valeur sociale et environnementale qu'elles apportent, et du recours à des exemptions aux réglementations environnementales. Cette situation conduit à un nivellement par le bas et laisse les entreprises vertes locales en difficulté pour être compétitives.

© Aiman Baser. Unsplash.

Les entreprises vertes locales jouent un rôle important au niveau mondial

La GEC a réuni ses partenaires et des voix du monde entier pour plaider en faveur des entreprises vertes locales et du rôle qu'elles ont à jouer.

Notre organisation travaille depuis 2009 à promouvoir de nouvelles visions de l'économie verte aux niveaux mondial et national. Nous avons rassemblé des acteurs de terrain et les entreprises vertes les plus petites (celles que nous appelons « entreprises vertes locales ») pour façonner de nouvelles approches de l'investissement vert qui pourront garantir que les fonds et les opportunités parviennent bien à ces acteurs.

La Déclaration de Delhi 2020 décrit l'approche que nous avons adoptée, et reprend les messages que les décideurs politiques commencent à entendre tandis qu'ils constatent tout le potentiel des petites entreprises vertes pour faire de la transition verte une réalité. Mais pour réussir, nous avons besoin de partenariats et de partenaires comme le Centre du commerce international pour nous assurer que ce sont bien les bons messages qui sont reçus.

© Anton Luzhkovsky. Unsplash.
GreenToCompete

Une question de confiance, de financement et de politiques propices

Les gouvernements doivent instaurer la confiance, combler les lacunes en matière de financement, et créer des politiques propices au déploiement du plein potentiel des petites entreprises vertes.

Dans notre rapport déjà mentionné plus haut, intitulé Financer les entreprises vertes locales : Combler le déficit de financement des MPME durables dans les pays en développement (2022, uniquement en version anglaise), Finance Watch et le GEC plaident pour trois séries de recommandations visant à recentrer les MPME vertes (ou celles qui permettent de « verdir » les économies) dans le débat.

Les gouvernements devraient envisager des plans directeurs qui traitent à la fois de la confiance, de l'information et des capacités, ainsi que de l'écosystème financier.

  1. Confiance – Les gouvernements et les institutions financières devraient s'assurer que les petites entreprises peuvent rassembler plus facilement des capitaux pour accéder au financement, et travailler à l'amélioration des systèmes de garantie de crédit pour encourager les activités vertes.
  2. Information et capacités – Les gouvernements devraient renforcer les capacités des entreprises vertes en explorant le statut juridique de ces entreprise, en offrant des conditions de crédit favorables et en créant des agences à guichet unique pour les petites entreprises.
  3. Écosystème de financement – Les gouvernements devraient suralimenter l'écosystème de financement des entreprises vertes en mandatant les institutions de financement du développement et les banques d'occuper ce créneau, en repensant les prêts de microcrédit et en modifiant la façon dont ils comptabilisent les dépenses publiques pour l'appui aux petites entreprises.
Header color
Green
Announcement type
Audience (for relations)
Focus area (for relations)
Chris Hopkins, Responsable de la politique économique, Green Economy Coalition
Contextual tags
Las mentes brillantes de la India revolucionarán la industria de la construcción
Body lead

¿Qué se obtiene cuando se mezcla la pasión por la gestión sostenible de los residuos con las ideas de unas mentes innovadoras? RecycleX. La empresa emergente que quiere revolucionar la industria de la construcción. Y van camino para conseguirlo.

 

 

Body
Cofundadores de RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

Conozca a los futuros agentes de cambio de la India, Vedant Gandhi y Abhishek Chhazed. Son los fundadores de una empresa emergente que ofrece soluciones de construcción ecológicas.

«Siempre quise construir ciudades inteligentes y sostenibles», afirma el cofundador Vedant.

Vedant me habla de su trayectoria profesional, que le llevó desde unas prácticas en una organización no gubernamental que instalaba baños ecológicos en barrios marginales, donde trabajó en la política «India limpia», apoyada por la oficina del Primer Ministro; de su máster en infraestructuras sostenibles en la Universidad de Ciencias Aplicadas de Stuttgart; y finalmente, de su participación en la iniciativa Unidos por las ciudades inteligentes y sostenibles, dirigido por las Naciones Unidas.

Desde que finalizó su licenciatura en ingeniería civil, Vedant sintió que la única forma de expresar su verdadero ser sería a través del emprendimiento. La única pregunta cuando regresó a la India desde Europa hace dos años era en qué debía enfocarse exactamente.

Retrocedamos a 2020. El mercado indio de infraestructuras está deseoso por descubrir materiales de construcción sostenibles. Esta era la oportunidad que Vedant estaba esperando. El entonces joven de 27 años viajó de regreso a su país justo antes de que estallara la crisis de la COVID-19.

«No tenía planes. Así que empecé mi investigación».

 

RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

De los residuos a la empresa

Ver a una vaca comiendo una bolsa de plástico en una calle cerca de Bombay fue el punto de inflexión para Vedant. El plástico multicapa de un solo uso es una gran amenaza para el medio ambiente mundial, y por ello, el ingeniero decidió reutilizarlo como material de construcción.

Por aquel entonces, conoció al otro cofundador de la empresa, Abhishek, que acababa de terminar su licenciatura en ingeniería mecánica. Juntos montaron un pequeño laboratorio en el patio trasero de la casa de Vedant, donde experimentaron con los residuos recogidos de las empresas, y probaron diferentes muestras para fabricar ladrillos. Consiguieron convencer al gobierno local de la ciudad de Bharuch para que pavimentara cerca de 20 metros cuadrados con el material que acababan de desarrollar.

«Le dijimos a la gente: Están caminando sobre bloques reciclados hechos a partir de botellas PET y plástico de un solo uso».

Este primer proyecto atrajo mucha atención hacia la empresa emergente y las subvenciones entrantes por parte de varias incubadoras pronto hicieron posible la creación de una planta de procesamiento.

Recycle X India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture
RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture
Recycle X India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

Video

24 June 2022

Cemento: el gran contaminador

RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

La lucha contra los residuos plásticos no es la única razón por la que RecycleX ha creado ladrillos ecológicos. Aunque el hormigón es el material artificial más utilizado que existe, muy poca gente conoce lo perjudicial que es para el medio ambiente: para crear hormigón se necesita cemento, fuente de cerca del 8 % de las emisiones mundiales de dióxido de carbono (CO2), según el think tank Chatham House.

Si la industria cementera fuera un país, sería el tercer mayor emisor del mundo, por detrás de China y de los Estados Unidos de América. El cemento produce más CO2 que el combustible de aviación (2,5 %) y no está muy lejos del negocio agrícola mundial (12 %).

Además, debido al gran número de obras de construcción en la India, especialmente en las grandes ciudades como Nueva Delhi, el polvo de los residuos de la construcción se arroja de forma incontrolada a la atmósfera. El Delhi Pollution Control Committee (Comité de control de la contaminación de Delhi) confirma que las instalaciones de tratamiento de residuos tienen capacidad actual para procesar unas 1000 toneladas de residuos al día, aunque se calcula que la ciudad produce 3600 toneladas diarias.

 

RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

Una solución beneficiosa para la naturaleza y para los seres humanos: más fuerte, más barato... ¡Y sin residuos!

Basta con echar un vistazo a los datos sobre los efectos nocivos de la construcción tradicional para comprender por qué Recycle X atrae la atención de los gobiernos. ¿Cuál es el secreto de sus ladrillos ecológicos?

Durante la investigación en su diminuto laboratorio, Vedant y su cofundador recogieron residuos industriales no tóxicos, como carbones, cenizas volantes y basalto molido, y convirtieron los plásticos multicapa en fibra multicapa que, en última instancia, tiene una mayor durabilidad. Normalmente, el mercado de la construcción en la India utiliza ladrillos de arcilla roja, que son más frágiles y procedentes de suelos fértiles. Además,estos ladrillos se rompen más rápido.

Cada mes, la empresa recicla 20 toneladas de residuos plásticos, 300 toneladas de residuos de la construcción y 200 toneladas de residuos industriales. Con ello, evitan por completo la producción de cemento contaminante. Su centro de fabricación, a cinco horas en coche de Bombay, en Guyarat, funciona con electricidad verde generada en un parque fotovoltaico cercano.

Además de que la producción de ladrillos ecológicos tiene un vertido cero de agua, toda el agua utilizada se reutiliza, lo que convierte a la planta en productora negativa de carbono. Lo que resulta una solución muy necesaria en un país que se enfrenta a una gran contaminación atmosférica causada por los residuos de la construcción y el polvo producido al mezclar el cemento.

Queremos transformar toda la industria de la construcción en la India.
Do not show
RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

¿Y ahora qué? ¡El cielo es el límite!

Vendant y Abhishek son optimistas. Para finales de 2023, tienen previsto abrir otras tres plantas de producción en la India, ya que a cada minuto que pasa, reciben más y más pedidos de esa región.

«El interés es alto y la empresa ha tenido rentabilidad desde el primer día».

La reputación de la empresa ha llamado la atención de varios gobiernos que buscan mantener su promesa sobre los objetivos climáticos establecidos en el Acuerdo de París. Otras naciones del sudeste asiático han empezado a buscar el asesoramiento de Vedant y Abhishek para abrir plantas de fabricación para hacer que sus sectores de la construcción sean más ecológicos.

Pero Vedant es modesto. En primer lugar, me dice, quiere centrarse en su país natal. Sin embargo, para marcar realmente la diferencia en el mercado mundial, Vedant considera que el mayor reto es conectar con otros países en desarrollo en los que persiste el problema de la gestión de residuos, en particular los residuos plásticos en las regiones costeras.

RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture
La X del nombre de nuestra empresa significa infinito: el cielo es el límite.
Do not show
RecycleX India
Deepti Asthana/ITC/Fairpicture

Vedant Gandhi es el ganador de los premios Youth Ecopreneur Awards del Centro de Comercio Internacional en la categoría residuos. Los premios Youth Ecopreneur Awards están dirigidos a empresas ecológicas de jóvenes empresarios radicadas en las economías menos desarrolladas y en desarrollo. Los Premios sirven de escaparate para que los jóvenes muestren sus soluciones sostenibles y escalables para acelerar la transición hacia una economía ecológica y reciban el apoyo necesario en este viaje.

Header color
Green
Announcement type
Country (for relations)
Region (for relations)
Evelyn Seltier, Centro de Comercio Internacional
Narrow resultsNarrow results down by: