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ITC publications bring the business voice to sustainable trade, with a focus on developing countries. We offer guidance for trade policymakers, business support organizations and small firms. Our reports offer insights to make trade more inclusive, green, digital and competitive.

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Fabriqué par l’Afrique : 94 chaînes de valeur pour stimuler le commerce intra-africain
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Un nouveau rapport de l’ITC montre que parmi les 94 chaînes de valeur réalisables identifiées en Afrique, les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile sont prioritaires pour stimuler le commerce intrarégional et créer des emplois pour les femmes et les jeunes.

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(Niamey/Genève) Des investissements dans les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile vont permettre de répondre aux objectifs de l’Afrique d'améliorer la sécurité alimentaire, la santé et les compétences technologiques, et donner un coup de fouet au commerce dans le cadre du marché de 2 500 milliards d'euros de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

C’est en substance le message d’un nouveau rapport intitulé Fabriqué par l'Afrique : Créer de la valeur par l'intégration, publié aujourd'hui à l’occasion du Sommet de l’Union africaine sur l’industrialisation et la diversification économique qui se tient à Niamey, au Niger. Le rapport est produit par le Centre du commerce international (ITC), en étroite collaboration avec la Commission de l'Union africaine et la Commission européenne.

Le rapport identifie 94 chaînes de valeur à fort potentiel pour le développement durable, chaque chaîne de valeur étant reliée à au moins cinq pays africains de différentes régions. En creusant davantage, quatre secteurs apparaissent comme particulièrement prometteurs, y compris pour les petites entreprises qui représentent 90 % des entreprises dans le monde génèrent plus de la moitié des emplois : les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et le secteur automobile.

  • Les produits pharmaceutiques sont un secteur essentiel, en particulier au sortir de la pandémie, pour améliorer la santé et réduire les importations.
  • Face aux perturbations actuelles des chaînes d’approvisionnement mondiales, les aliments pour nourrissons, en s'appuyant sur le secteur agricole, vont contribuer à une sécurité alimentaire pérenne et une nutrition saine et durable.
  • Dans les pays les moins avancés d’Afrique, les vêtements en coton offrent à des millions de personnes la possibilité de trouver un emploi grâce à l'intégration de cette chaîne de valeur.
  • Le secteur automobile présente un fort potentiel de croissance du commerce intrarégional. Il offre en outre la possibilité de nouer des liens avec d'autres chaînes de valeur, telles que le cuir et les machines électriques, ainsi qu'avec des multinationales étrangères cherchant à investir.

Les entreprises, les organisations d'appui aux entreprises et les experts sectoriels en Afrique ont confirmé – à travers des milliers d'entretiens et de consultations – que ces secteurs sont propices à la croissance intrarégionale, et que leur transformation est déjà en cours.

En effet, dans les quatre chaînes de valeur sélectionnées, 77 % des entreprises interrogées écologisent déjà leurs processus de production, de la réduction de la consommation d'énergie et d'eau au recyclage des déchets, en passant par des investissements dans des emballages recyclables ou biodégradables et le développement de modèles commerciaux circulaires, comme la production de vêtements de haute qualité à partir de déchets de tissus et de vêtements d'occasion inutilisables.

Investir en Afrique, par l'Afrique
 

Les données de l'ITC montrent que le potentiel de croissance des exportations intra-africaines s'élève à 22 milliards de dollars.

Si les opportunités sont grandes, la nécessité d'agir l'est tout autant. L'empreinte de l'Afrique sur le marché international est encore faible, puisqu'elle ne représente que 2,3 % des exportations mondiales, avec un panier d'exportation essentiellement constitué de produits primaires et de ressources naturelles. Seuls 14 % des exportations du continent sont destinées à d'autres pays africains, et une grande partie de ce commerce concerne des produits transformés. Ce qui peut surprendre, c'est que le commerce intra-africain est plus diversifié et technologiquement plus avancé que le commerce de l'Afrique avec le reste du monde.

Le renforcement du commerce régional va permettre de renforcer la résilience et stimuler une industrialisation durable – ce qui ultimement contribuera à la création d'emplois et à l'amélioration des moyens de subsistance sur le continent.

En résumé, l'investissement dans la diversification et le renforcement des chaînes de valeur régionales, sous les auspices de l’accord de libre-échange continental, est essentiel pour libérer tout le potentiel économique et de développement de l'Afrique.
 

 

À propos du diagnostic des chaînes de valeur de l'ITC. Mandaté par l'Union africaine et la Direction générale des partenariats internationaux de la Commission européenne, l’ITC a mené un diagnostic des chaînes de valeur pour identifier les secteurs à fort potentiel pour le développement de chaînes de valeur durables et les goulets d'étranglement qui empêchent les entreprises de réaliser pleinement ce potentiel. De plus amples informations sur la méthodologie et le contexte sont disponible sur la page www.ntmsurvey.org/MadeByAfrica.

A propos du Centre du commerce international. Le Centre du commerce international est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org.

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Contact média

Susanna Pak
Responsable principale des communications stratégiques
Centre du commerce international (ITC)
Courriel : pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) ou press [at] intracen.org (press[at]intracen[dot]org)
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

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ITC Actualités
Un gran futuro para las pequeñas empresas de Fiji
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Evelyn Seltier conversó con el director ejecutivo de Investment Fiji, la Organización de promoción del comercio y las inversiones de Fiji, para conocer de primera mano cómo las pequeñas empresas de este pequeño estado insular del Pacífico han podido sobrevivir a la crisis de exportación, y cuál es su plan para seguir por este camino.

 

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Craig Strong, CEO ,Investment Fiji
© Investment Fiji
¿Cuál es la situación general del apoyo empresarial en Fiji en lo referente a la prestación de servicios de promoción de las exportaciones a las pequeñas empresas?

 

El gobierno de Fiji ha realizado cambios de gran calado en materia de impuestos y políticas para estimular la economía y recuperar la confianza. Fiji se está convirtiendo en el destino preferido de los fabricantes gracias a los nuevos incentivos que tienen como objetivo aprovechar la voluntad internacional de trasladar las líneas de montaje y fabricación a nuestro país.

El gobierno ha creado un paquete de reformas que mejorará el entorno empresarial, especialmente para las microempresas y pequeñas y medianas empresas (MIPYME), como la finalización de la Ley de MIPYME, el proyecto de Ley de Inversiones y las enmiendas a la Ley de Cooperativas.

Otra de las iniciativas gubernamentales para apoyar el crecimiento de las pequeñas empresas es la eliminación de las licencias comerciales para aquellas personas en proceso de nacionalización, ya que los procesos eran complicados. La iniciativa «Love our locals» promueve que los pequeños empresarios que estén buscando reutilizar sus habilidades sean capaces de establecer sus propios negocios.

La iniciativa «Love our locals» promueve que los pequeños empresarios que estén buscando reutilizar sus habilidades sean capaces de establecer sus propios negocios.
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© Shutterstock.com

El programa de jóvenes empresarios del Ministerio de Comercio, Turismo y Transporte ofrece un apoyo de hasta 30.000 dólares estadounidenses a jóvenes emprendedores con ideas innovadoras. Por otra parte, la National Export Strategy (Estrategia Nacional de Exportación) ayuda a los exportadores, tanto nuevos como existentes, con los aspectos relacionados con la competitividad, el valor agregado, la diversificación de las exportaciones y el crecimiento en mercados objetivo extranjeros.

La Federación empresarial y de comercio de Fiji, con el apoyo del Market Development Facility, un centro de desarrollo de mercados financiado por el gobierno australiano, ha creado el primer programa de aceleración empresarial dirigido por el sector privado que organiza actividades individuales de tutoría y creación de redes de contacto.

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El Market Development Facility se centra en mejorar la competitividad de las industrias agrícolas y urbanas de gran valor de Fiji. Además de ello, también promocionan el crecimiento de las pequeñas empresas las recién creadas Business Processing Outsourcing Council (Consejo para la subcontratación de procesos empresariales), diversas organizaciones de marketing de destinos y el Programa acelerador Fiji Enterprise Engine para mujeres y jóvenes emprendedores de la Federación empresarial y de comercio de Fiji.

Nuestros programas de desarrollo de las capacidades, recursos en línea, exposiciones comerciales virtuales y extensa red internacional han proporcionado a las pequeñas empresas una plataforma ideal para preparar sus negocios y productos para la exportación internacional.

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¿Qué ha hecho Investment Fiji para que las pequeñas empresas mantengan su resiliencia durante la crisis de la COVID-19?

 

Cuando empezó la crisis de la COVID-19, sabíamos que debíamos cambiar la estrategia y hacer más hincapié en el aumento de la resiliencia de los exportadores locales. Desarrollamos así una guía para exportadores en colaboración con el Market Development Facility con el objetivo de ayudar a que las pequeñas empresas

estuvieran listas para la exportación.También colaboramos con diversos agentes locales e internacionales con los que organizamos seminarios en línea centrados en el desarrollo de las capacidades y exposiciones comerciales virtuales para seguir promocionando los productos de Fiji en el mercado mundial.

Nuestros asesores en materia de exportación están en contacto regular con las pequeñas empresas y organizan sesiones de formación, seminarios en línea sobre cómo conectar con nuevos mercados, vínculos de cooperación con agencias clave en materia de aprobaciones y obstáculos, visitas de campo y asistencia posterior a la venta.

Como parte de nuestras estrategias de recuperación sostenible, la inversión nacional es de gran importancia y esperamos ampliar nuestra base económica.
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¿Cómo ve la situación para las pequeñas empresas en el Pacífico tras la pandemia?

 

Desde nuestro punto de vista, las pequeñas empresas son de gran importancia. Nuestros pilares para la recuperación económica son el crecimiento de las exportaciones y la inversión directa nacional y extranjera. Además estamos ampliando la base económica de nuestros sectores clave en las áreas de agricultura, pesca, silvicultura, turismo, economía digital, transporte marítimo, manufactura e infraestructura.

Nos enfocamos en la inversión de una manera integral. Como parte de nuestras estrategias de recuperación sostenible, la inversión nacional es de gran importancia y esperamos ampliar nuestra base económica. Necesitamos asegurarnos de que conectamos a los inversores actuales con empresas que tienen capacidad de crecimiento en ese sector.

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Entrevista con Craig Strong, director ejecutivo de Investment Fiji
L’avenir radieux des petites entreprises fidjiennes
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Evelyn Seltier s’est entretenu avec le Directeur général de l’agence de promotion des investissements et du commerce des Fidji, Investment Fiji, sur la manière dont les petites entreprises de ce petit État insulaire du Pacifique ont survécu à la crise des exportations, et sur leurs plans pour s’assurer qu’elles survivent encore longtemps.

 

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Craig Strong, CEO ,Investment Fiji
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À quoi ressemble l’appui aux petites entreprises aux Fidji, surtout en matière de services de promotion des exportations ?

 

Le Gouvernement fidjien a procédé à d’importants changements fiscaux et politiques afin de stimuler l’économie et de restaurer la confiance. Face à la tendance internationale de délocaliser les chaînes de montage et de fabrication, les Fidji ont décidé de s’imposer comme une destination de premier choix en proposant de nouveaux avantages.

Plusieurs réformes vont permettre d’améliorer l’environnement des affaires, surtout pour les micros, petites et moyennes entreprises (MPME), telles que la finalisation de la loi sur les MPME, et le renforcement de la loi sur la coopération grâce aux projets de loi et autres amendements sur les investissements.

Une autre initiative pour appuyer la croissance des petites entreprises est de supprimer les licences commerciales, dont les procédures sont jugées trop fastidieuses. Intitulée Love our Locals [« Aimez nos locaux » – NDLR], cette initiative stimule les micros-entrepreneurs désireux de mettre à profit leurs compétences spécifiques pour créer leur propre affaire.

Intitulée Love our Locals [« Aimez nos locaux » – NDLR], cette initiative stimule les micros-entrepreneurs désireux de mettre à profit leurs compétences spécifiques pour créer leur propre affaire.
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Le Ministère du commerce, des échanges internationaux, du tourisme et des transports, à travers son Projet pour l’entrepreneuriat des jeunes, offre jusqu’à 30 000 dollars aux jeunes entrepreneurs faisant preuve d’innovation. En parallèle, les exportateurs, nouveaux et existants, bénéficient de la Stratégie nationale d’exportation pour renforcer leur compétitivité et l’ajout de valeur, diversifier leurs exportations et ainsi croître sur certains marchés étrangers ciblés.

Avec l’appui financier du Gouvernement australien, la Fédération fidjienne Commerce & employeurs est devenue la première organisation du secteur privé à proposer un programme d’accélération commerciale, au travers de mentorats individuels et d’activités en réseau.

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Ce programme doit améliorer la compétitivité des secteurs agricole et industriel. En outre, d’autres initiatives promeuvent également la croissance des petites entreprises.

Nous proposons aussi aux MPME une plateforme pour les aider à se préparer l’export, avec des programmes de renforcement des compétences, des ressources en ligne, des expositions commerciales virtuelles et un réseau international étendu.

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Quelle est l’aide apportée aux petites entreprises par Investment Fiji pour assurer leur résilience face à la crise liée à la COVID-19 ? 

 

Avec l’éruption de la COVID-19, nous avons dû revoir nos stratégies et pousser pour renforcer la résilience des exportateurs locaux. Grâce au programme de la Fédération fidjienne Commerce & employeurs, nous avons développé un guide des exportations pour aider les petites entreprises émergentes à se préparer à l’export.

Les collaborations avec les parties prenantes locales et internationales ont permis d’organiser des séminaires en ligne de renforcement des compétences et des expositions commerciales virtuelles, qui ont assuré la promotion des produits fidjiens sur les marchés internationaux.

Nos conseillers en exportation maintiennent un contact régulier avec les petites entreprises, à travers des formations, des séminaires en lignes sur la connexion aux marchés, des mises en relation avec les principales agences concernées par la validation et les obstacles rencontrés à l’export, des visites sur site et des entretiens de suivi.

De notre point de vue, les petites entreprises ont toute notre attention. Nous pensons que les piliers du redressement sont la croissance des exportations, les investissements intérieurs directs et les investissements étrangers directs.
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Comment voyez-vous la situation des petites entreprises du Pacifique dans un monde post-pandémique ?

 

De notre point de vue, les petites entreprises ont toute notre attention. Nous pensons que les piliers du redressement sont la croissance des exportations, les investissements intérieurs directs et les investissements étrangers directs. Nous élargissons aussi notre base économique de secteurs clefs, tels que l’agriculture, la pêche, la foresterie, le tourisme, l’économie numérique, le transport maritime, l’industrie et les infrastructures.

Nous cherchons à investir de manière holistique. Dans le cadre de nos stratégies de redressement durable, les investissements intérieurs sont essentiels pour pouvoir élargir notre base économique. Il nous faut nous assurer de mettre en relation les investisseurs actuels avec des entreprises capables de croître dans ces différents secteurs.

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Entretien avec Craig Strong, Directeur général de Investment Fiji
Africa can tackle medical supply shortages through a regional response (en)
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Africa should open markets, diversify supply and strengthen regional value chains to become a competitive provider of certain health-related products, a new ITC report finds.
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Africa can position itself strategically and develop a regional response to avoid healthcare product shortages similar to those triggered by the COVID-19 crisis. That's the main message of Medical Industries in Africa: A Regional Response to Supply Shortages, a new International Trade Centre (ITC) report.

COVID-19 severely burdened the global health system, driving a surge in demand for medical supplies such as masks, gowns and gloves. The World Health Organization warned in early March that international production of such goods would have to ramp up by 40% to meet demand.

Today, Africa sources only 8% of its health-related products from African suppliers. The continent can become competitive in some of these items while combating the crisis and building its own resilience to future pandemics, the ITC report finds. The African Continental Free Trade Agreement has a key role to play in supporting the regional medical industry, it adds.

'We examine the potential of the African medical supply industry and show how trade can be an important element of the continent's health response, both in the short and long term,' says Dorothy Tembo, ITC Executive Director a.i. 'We suggest a strategic mix of open markets, diversified procurement and stronger regional value chains' to position Africa strategically in the future trade landscape of the global medical industry while safeguarding the health of Africans.

Keeping the regional market open for essential health products is critical, the report says. ITC business surveys on non-tariff measures have found that companies in Africa frequently struggle to import medical supplies because of inspections and customs charges. In addition, tariffs are relatively high: African countries apply a 10.3% average tariff on these items, compared with 7.9% in non-African developing economies and 2.9% in developed countries.

African governments should review import regulations and consider temporarily lifting tariffs, taxes and other restrictions that hinder access to these goods - especially as the continent has limited sources of such products.

Regional value chains would help diversify global supply

That's why it's also important to diversify suppliers, the report notes. Africa provides just 8% of its own medical products, importing most of the rest from the European Union, China and India.

The report urges policymakers to consider regional suppliers with export growth potential. Diversifying would reduce the impact of export restrictions on essential goods and make the continent less dependent on just a handful of foreign suppliers. Egypt, Ghana and South Africa are viable alternatives for products such as disinfectants and adhesive bandages.

Governments also should help build up Africa's capacity to produce key medical supplies by developing regional value chains, the report says. Although the continent produces many of the inputs used to manufacture health-related products - such as rubber, fabrics and ethanol - these goods are often exported without any transformation.

Policymakers could support the development of regional value chains by channeling investments into these sectors, the report says. Furthermore, they could leverage negotiations in the context of the African Continental Free Trade Agreement to keep trade functioning smoothly along these value chains - for instance, making sure that these vital goods trade duty-free within Africa and that other regulations are harmonized.

 

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Africa can tackle medical supply shortages through a regional response (en)
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Africa should open markets, diversify supply and strengthen regional value chains to become a competitive provider of certain health-related products, a new ITC report finds.
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Africa can position itself strategically and develop a regional response to avoid healthcare product shortages similar to those triggered by the COVID-19 crisis. That's the main message of Medical Industries in Africa: A Regional Response to Supply Shortages, a new International Trade Centre (ITC) report.

COVID-19 severely burdened the global health system, driving a surge in demand for medical supplies such as masks, gowns and gloves. The World Health Organization warned in early March that international production of such goods would have to ramp up by 40% to meet demand.

Today, Africa sources only 8% of its health-related products from African suppliers. The continent can become competitive in some of these items while combating the crisis and building its own resilience to future pandemics, the ITC report finds. The African Continental Free Trade Agreement has a key role to play in supporting the regional medical industry, it adds.

'We examine the potential of the African medical supply industry and show how trade can be an important element of the continent's health response, both in the short and long term,' says Dorothy Tembo, ITC Executive Director a.i. 'We suggest a strategic mix of open markets, diversified procurement and stronger regional value chains' to position Africa strategically in the future trade landscape of the global medical industry while safeguarding the health of Africans.

Keeping the regional market open for essential health products is critical, the report says. ITC business surveys on non-tariff measures have found that companies in Africa frequently struggle to import medical supplies because of inspections and customs charges. In addition, tariffs are relatively high: African countries apply a 10.3% average tariff on these items, compared with 7.9% in non-African developing economies and 2.9% in developed countries.

African governments should review import regulations and consider temporarily lifting tariffs, taxes and other restrictions that hinder access to these goods - especially as the continent has limited sources of such products.

Regional value chains would help diversify global supply

That's why it's also important to diversify suppliers, the report notes. Africa provides just 8% of its own medical products, importing most of the rest from the European Union, China and India.

The report urges policymakers to consider regional suppliers with export growth potential. Diversifying would reduce the impact of export restrictions on essential goods and make the continent less dependent on just a handful of foreign suppliers. Egypt, Ghana and South Africa are viable alternatives for products such as disinfectants and adhesive bandages.

Governments also should help build up Africa's capacity to produce key medical supplies by developing regional value chains, the report says. Although the continent produces many of the inputs used to manufacture health-related products - such as rubber, fabrics and ethanol - these goods are often exported without any transformation.

Policymakers could support the development of regional value chains by channeling investments into these sectors, the report says. Furthermore, they could leverage negotiations in the context of the African Continental Free Trade Agreement to keep trade functioning smoothly along these value chains - for instance, making sure that these vital goods trade duty-free within Africa and that other regulations are harmonized.

 

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Les produits pharmaceutiques, les aliments pour nourrissons, les vêtements en coton et les véhicules sont les quatre chaînes de valeur ciblées dans ce rapport. Ensemble, elles vont permettre d’accroître le commerce intrarégional en Afrique, de réduire les importations, de diversifier les...

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Façonner le commerce entre l'Afrique et les Caraïbes
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Les échanges commerciaux entre l'Afrique et les Caraïbes, avec un appui adéquat, pourraient croître d'un milliard de dollars. Une grande partie de ce potentiel réside dans l'agroalimentaire, centre de toutes les attentions lors du Forum sur le commerce et l'investissement entre l'Afrique et les Caraïbes qui s'est tenu au Guyana.

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Le forum, connu sous son acronyme ACTIF, a publié l'année dernière à l'occasion de sa première édition un rapport sur l'expansion du commerce entre l'Afrique et les Caraïbes.

Depuis lors, comme le souligne le président d'Afreximbank, Benedict Oramah, un bureau permanent de la banque s'est ouvert à la Barbade et l'institution lance un projet pilote pour faciliter les paiements dans les Caraïbes.

« D'ici la fin de l'année 2024, Afreximbank va établir à la Barbade le Centre du commerce d'Afrique, qui marquera sa présence permanente dans les Caraïbes. Le centre comprendra un hôtel, un service d'informations commerciales, ainsi que des salles de conférence et d'exposition. »

Toutefois, pour développer le commerce entre les deux régions, il faudra davantage de ressources, notamment « l'accès à des ressources financières à des taux et conditions compétitifs, une assistance technique spécialisée et des informations sur le marché », a précisé Escipion Oliveira, Directeur de la Division de la compétitivité des entreprises et des institutions à l'ITC.

« L'ITC est fier de collaborer avec Afreximbank pour appuyer les échanges commerciaux entre l'Afrique et les Caraïbes, grâce à des investissements réalisés dans le cadre d'ACTIF. »

S'exprimant à distance dans un message préenregistré, Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l'ITC, a pointé vers la nécessité d'investir dans les transports et la logistique pour réaliser le potentiel commercial entre les deux régions.

« Depuis la session 2022 d'ACTIF, nous avons déjà constaté une forte augmentation de la coopération commerciale ».

Trois chefs d'État étaient présents à l'événement : Mohamed Irfaan Ali, Président du Guyana, Mia Amor Mottley, Première Ministre de la Barbade, et Philip Joseph Pierre, Premier Ministre de Sainte-Lucie.

L'ITC a présenté les résultats de trois de ses programmes – le Programme de compétitivité pour l'Afrique de l'Ouest (WACOMP), et les initiatives Alliances pour l'action et One Trade Africa (OTA) – qui visent à améliorer le commerce pour les entreprises agroalimentaires, en particulier dans le secteur du manioc. À cette occasion, des entreprises et des agences de promotion des investissements du Nigéria, du Ghana et de la Sierra Leone ont partagé leurs expériences en tant que plus grands producteurs de manioc d'Afrique de l'Ouest. Les programmes de l'ITC doivent aider à développer le commerce dans la région tout en utilisant des pratiques éthiques et climato-intelligentes.

Lors du Forum, qui s'est tenu les 30 et 31 octobre à Georgetown, au Guyana, le pavillon de l'ITC a hébergé 14 petites entreprises et cinq organisations d'appui aux entreprises qui sont venues partager leurs expériences et leurs récits.

L'ITC a participé à la table ronde sur le thème « Améliorer la sécurité alimentaire, la productivité agricole et l'expansion des opportunités agroalimentaires ». Ce fut l'occasion de présenter le travail de l'ITC pour améliorer la compétitivité des entreprises caribéennes et africaines à travers des initiatives financées par l'Union européenne, le Royaume-Uni et d'autres donateurs. 

L'ITC et Afreximbank ont également organisé une session avec des agences de promotion des investissements et des entreprises africaines et caribéennes de premier plan afin de favoriser les collaborations dans le secteur agroalimentaire. 

Le forum ACTIF n'est qu'un des aspects du partenariat entre l'ITC et Afreximbank. Les deux entités organisent conjointement un programme de formation sur la manière d'exporter dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Plus de 7 000 petites entreprises ont déjà suivi cette formation en ligne et gratuite.

Leur partenariat a également permis, entre autres, l'élaboration de la Stratégie nationale d'exportation et d'investissement du Soudan du Sud, et le lancement prochain de la toute première coopérative panafricaine de créateurs de mode.

En novembre, l'ITC et Afreximbank faciliteront la venue de 30 petites entreprises à la Foire commerciale intra-africaine du Caire.  Les deux partenaires y organiseront une master classe sur la manière d'exporter et d'investir dans le cadre de la ZLECAf, soulignant ainsi leur engagement à favoriser la croissance économique et le développement dans toute l'Afrique.

À propos des programmes

À travers l'initiative Alliances pour l'action du Centre du commerce international (ITC), nous mettons en place un réseau favorisant les chaînes de valeur agricoles durables. Notre objectif est de cultiver des pratiques éthiques et intelligentes sur le plan climatique et d'atteindre les objectifs de développement durable, en donnant aux agriculteurs et aux micro, petites et moyennes entreprises (MPME) les moyens d'être compétitifs à l'échelle mondiale. Nous donnons la priorité à des systèmes de commerce, de production et de consommation responsables, dans le but d'améliorer les liens avec le marché et la compétitivité en vue d'une croissance durable. Enfin, nos efforts visent à accroître l'engagement des jeunes et des femmes à tous les niveaux du secteur.

Le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP) est financé par l'Union européenne dans le cadre du 11e Fonds européen de développement. Le programme vise à renforcer la compétitivité des pays d'Afrique de l'Ouest et à améliorer leur intégration dans le système commercial à la fois régional et international. Dans ce cadre, l'ITC travaille en étroite collaboration avec l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI) et sous la direction générale de la Commission de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). L'objectif global du programme est ainsi de « renforcer la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest en améliorant les capacités de production, de transformation et d'exportation du secteur privé, conformément aux stratégies industrielles régionales et nationales et aux stratégies des PME ». Le projet est mis en œuvre par le l'ITC.

L'initiative One Trade Africa (OTA) appuie la mise en œuvre accélérée de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Menée par l'ITC, l'OTA vise à donner aux MPME, aux femmes et aux jeunes les moyens d'exploiter les opportunités offertes par ce marché unifié. Elle offre une assistance technique complète, renforçant ainsi les capacités des entreprises à explorer les possibilités d'exportation en Afrique et dans le monde entier.

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Avance en el comercio entre África y el Caribe
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El comercio entre África y el Caribe podría alcanzar un valor adicional de 1000 millones de dólares con el apoyo adecuado. Gran parte de ese potencial reside en la agroindustria, que fue el tema central del Foro de Inversión y Comercio Afrocaribeño celebrado en Guyana.

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Conocido como ACTIF, el primer foro publicó el año pasado un informe sobre la incremento del comercio entre África y el Caribe

Desde entonces, Afreximbank ha abierto una oficina en Barbados y está en proceso de poner en marcha un proyecto piloto para facilitar los pagos en la región del Caribe, dijo el presidente de Afreximbank, Benedict Oramah. 

«Antes de que acabe 2024, Afreximbank establecerá el Centro de Comercio Africano en Barbados como sede permanente de su oficina en el Caribe. Este centro incluirá un hotel e instalaciones para conferencias y exposiciones, y proporcionará información comercial», declaró en su discurso inaugural. 

Para aumentar el comercio entre las dos regiones se necesitarán más recursos, así como «el acceso a recursos financieros, a tipos y condiciones competitivos, a asistencia técnica especializada y a inteligencia de mercados», declaró Escipión Oliveira, Director de la División de competitividad empresarial e instituciones del ITC. 

«El ITC se enorgullece de colaborar con Afreximbank para impulsar el comercio entre África y el Caribe a través de la inversión en el marco del ACTIF». 

En un mensaje pregrabado, la Directora Ejecutiva del ITC, Pamela Coke-Hamilton, subrayó la necesidad de aumentar las inversiones en los sectores del transporte y la logística para hacer realidad el potencial comercial entre las dos regiones. 

«Desde el ACTIF del año pasado, hemos visto un gran aumento de la cooperación en materia comercial», afirmó. 

Tres jefes de Estado asistieron al acto, a saber: el Presidente de Guyana, Mohamed Irfaan Ali, la Primera Ministra de Barbados, Mia Amor Mottley, y el Primer Ministro de Santa Lucía, Philip Joseph Pierre. 

Tres de los programas del ITC mostraron su trabajo en la mejora del comercio para las agroempresas, especialmente en el sector de la yuca. Varias empresas y organismos de promoción de las inversiones de Nigeria, Ghana y Sierra Leona estuvieron presentes para compartir sus experiencias como las mayores productoras de yuca del África Occidental. El Programa de Competitividad en el África Occidental, Alianzas para la Acción y la iniciativa One Trade Africa (OTA) trabajan para incrementar el comercio en la región mediante prácticas éticas y respetuosas con el medio ambiente. 

En el evento celebrado los días 30 y 31 de octubre en Georgetown (Guyana), el pabellón del ITC reunió a 14 pequeñas empresas y cinco organizaciones de apoyo empresarial para que compartieran sus experiencias e historias.  

Durante el evento, el ITC participó en la mesa redonda «Mejora de la seguridad alimentaria, la productividad agrícola y la ampliación de las oportunidades de la agroindustria». En la mesa redonda se presentó la forma en la que trabaja el ITC para mejorar la competitividad de las empresas caribeñas y africanas a través de iniciativas financiadas por la Unión Europea, el Reino Unido y otros. 

El ITC y Afreximbank también organizaron una sesión con varios organismos de promoción de las inversiones y empresas líderes de África y el Caribe para fomentar la colaboración en el sector de los agronegocios. 

El ACTIF es sólo un aspecto de la asociación entre el ITC y Afreximbank, ya que también organizan un programa de formación sobre cómo exportar con la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA). Más de 7000 pequeñas empresas han seguido el curso gratuito en línea. 

Las organizaciones han colaborado en el desarrollo de la Estrategia Nacional de Exportación e Inversiones de Sudán del Sur y están preparando el lanzamiento de la primera cooperativa panafricana de diseñadores de moda. 

En noviembre, llevarán a 30 pequeñas empresas a la Feria comercial intraafricana de El Cairo. Allí, el ITC y Afreximbank impartirán una clase magistral sobre cómo exportar e invertir en el marco de la AfCFTA, con lo que subrayarán su compromiso con el fomento del crecimiento económico y el desarrollo en toda África. 

Sobre los proyectos

Gracias a Alianzas para la acción, una iniciativa del Centro de Comercio Internacional (ITC), establecemos una red que fomenta las cadenas de valor agrícolas sostenibles. Aspiramos a cultivar las prácticas éticas y respetuosas con el medio ambiente y alcanzar los Objetivos de Desarrollo Sostenible, con el objetivo último de empoderar a los agricultores y a las MIPYMES para ser competitivas a nivel mundial. Damos prioridad a los sistemas de comercio, producción y consumo responsables, con el objetivo de mejorar los vínculos con los mercados y la competitividad para alcanzar un crecimiento sostenible. En última instancia, nuestros esfuerzos se dirigen a aumentar la participación de los jóvenes y las mujeres en todos los niveles del sector.

El Programa de competitividad en el África Occidental (WACOMP) está financiado por la Unión Europea en el marco del 11º Fondo Europeo de Desarrollo. El programa aspira a reforzar la competitividad de los países del África Occidental y mejorar su integración en el sistema comercial regional e internacional. En el marco del WACOMP, el ITC trabaja en cooperación con la ONUDI y bajo la dirección general de la Comisión de la CEDEAO. El objetivo general del programa es «reforzar la competitividad del África Occidental a través de una mayor capacidad de producción, transformación y exportación del sector privado, en consonancia con las estrategias industriales y de las MIPYMES regionales y nacionales». La puesta en marcha del proyecto corre a cargo del Centro de Comercio Internacional.

La iniciativa One Trade Africa (OTA) apoya la puesta en marcha acelerada de la Zona de Libre Comercio Continental Africana (AfCFTA). La OTA, dirigida por el Centro de Comercio Internacional (ITC), está comprometida con el empoderamiento de las mujeres y los jóvenes para que puedan aprovechar las oportunidades de este mercado unificado. Además, ofrece una asistencia técnica completa, con lo que mejora la capacidad de las empresas para explorar las oportunidades de exportación dentro de África y en todo el mundo.

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Africa can tackle medical supply shortages through a regional response
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Africa should open markets, diversify supply and strengthen regional value chains to become a competitive provider of certain health-related products, a new ITC report finds.

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Africa can position itself strategically and develop a regional response to avoid healthcare product shortages similar to those triggered by the COVID-19 crisis. That's the main message of Medical Industries in Africa: A Regional Response to Supply Shortages, a new International Trade Centre (ITC) report.

COVID-19 severely burdened the global health system, driving a surge in demand for medical supplies such as masks, gowns and gloves. The World Health Organization warned in early March that international production of such goods would have to ramp up by 40% to meet demand.

Today, Africa sources only 8% of its health-related products from African suppliers. The continent can become competitive in some of these items while combating the crisis and building its own resilience to future pandemics, the ITC report finds. The African Continental Free Trade Agreement has a key role to play in supporting the regional medical industry, it adds.

'We examine the potential of the African medical supply industry and show how trade can be an important element of the continent's health response, both in the short and long term,' says Dorothy Tembo, ITC Executive Director a.i. 'We suggest a strategic mix of open markets, diversified procurement and stronger regional value chains' to position Africa strategically in the future trade landscape of the global medical industry while safeguarding the health of Africans.

Keeping the regional market open for essential health products is critical, the report says. ITC business surveys on non-tariff measures have found that companies in Africa frequently struggle to import medical supplies because of inspections and customs charges. In addition, tariffs are relatively high: African countries apply a 10.3% average tariff on these items, compared with 7.9% in non-African developing economies and 2.9% in developed countries.

African governments should review import regulations and consider temporarily lifting tariffs, taxes and other restrictions that hinder access to these goods - especially as the continent has limited sources of such products.

Regional value chains would help diversify global supply

That's why it's also important to diversify suppliers, the report notes. Africa provides just 8% of its own medical products, importing most of the rest from the European Union, China and India.

The report urges policymakers to consider regional suppliers with export growth potential. Diversifying would reduce the impact of export restrictions on essential goods and make the continent less dependent on just a handful of foreign suppliers. Egypt, Ghana and South Africa are viable alternatives for products such as disinfectants and adhesive bandages.

Governments also should help build up Africa's capacity to produce key medical supplies by developing regional value chains, the report says. Although the continent produces many of the inputs used to manufacture health-related products - such as rubber, fabrics and ethanol - these goods are often exported without any transformation.

Policymakers could support the development of regional value chains by channeling investments into these sectors, the report says. Furthermore, they could leverage negotiations in the context of the African Continental Free Trade Agreement to keep trade functioning smoothly along these value chains - for instance, making sure that these vital goods trade duty-free within Africa and that other regulations are harmonized.

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Pharmaceuticals, baby food, cotton clothing and cars are the four focus value chains of this report. 

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Made by Africa: 94 value chains to boost intra-African trade
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A new report prioritizes pharmaceuticals, baby food, cotton clothing and automotives among 94 feasible value chains to boost intraregional trade and create jobs for women and youth.

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(Niamey/Geneva) Invest in pharmaceuticals, baby food, cotton clothing and automotives, in line with African goals to improve food security, health and tech skills, to kickstart trading under the €2.5 trillion market of the African Continental Free Trade Area (AfCFTA).

That’s the key message of a new report, Made by Africa: Creating Value through Integration, released today during the African Union Summit on Industrialization and Economic Diversification in Niamey, Niger. The International Trade Centre (ITC) produced the report, in close collaboration with the African Union Commission and the European Commission.

The report identifies 94 value chains with high potential for sustainable development, with each value chain linking to at least five African countries from different regions. These four sectors emerge as especially promising, including for small businesses, which make up 90% of companies and more than half of jobs worldwide: pharmaceuticals, baby food, cotton clothing and automotives.

  • Pharmaceuticals is a critical sector, in particular emerging from the pandemic, to improve health and reduce imports.
  • Baby food draws on the agricultural sector, contributing to sustainable food security and nutrition, at a time of global supply chain disruptions.
  • Cotton clothing offers opportunities for millions of people in Africa’s least developed countries to find jobs through value chain integration.
  • Automotives has high potential for intraregional trade growth, with links to other value chains, such as leather and electrical machinery, as well as foreign multinationals looking to invest.

Companies, business support organizations and industry experts in Africa confirmed – through thousands of interviews and consultations – that these sectors are feasible for intra-regional growth – and that transformation is already happening in those sectors.

For example, 77% of surveyed companies along the four value chains are already greening their production processes, from reducing energy and water use to recycling waste, investing in recyclable or biodegradable packaging and developing circular business models, for example, by producing high-quality clothing from fabric waste and second-hand clothing.
 

Investing in Africa, by Africa
 

ITC data show current intra-African export growth potential to be US$22 billion.

While the opportunities are great, so is the need for action. Africa’s footprint in the international market is still small, accounting for just 2.3% of global exports, with an export basket heavy on primary commodities and natural resources. About 14% of the continent’s exports are destined for other African countries, and much of this trade is in transformed products. What may come as a surprise is that intra-African trade is more diversified and technologically advanced than Africa’s trade with the rest of the world.

Strengthening regional trade boosts resilience to crises and sustainable industrialization – ultimately contributing to job creation and better livelihoods on the continent.

In short, investing in diversification and stronger regional value chains, under the umbrella of the continental trade agreement, is key to unlocking Africa’s full economic and development potential.

 

About the ITC Value Chains Diagnostic. ITC, mandated by the African Union and the Directorate-General for International Partnerships of the European Commission, implemented the Value Chain Diagnostic to identify sectors with high potential for sustainable value chain development in Africa and the bottlenecks preventing businesses from fully realizing this potential. For more information about the methodology and background, visit www.ntmsurvey.org/MadeByAfrica.

About the International Trade Centre. The International Trade Centre is the joint agency of the World Trade Organization and the United Nations. ITC assists small and medium-sized enterprises in developing and transition economies to become more competitive in global markets, thereby contributing to sustainable economic development within the frameworks of the Aid-for-Trade agenda and the United Nations’ Sustainable Development Goals.

For more information, visit www.intracen.org.

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Media contact

Susanna Pak
Senior Strategic Communications Officer
International Trade Centre (ITC)
E: pak [at] intracen.org (pak[at]intracen[dot]org) or press [at] intracen.org (press[at]intracen[dot]org)
T: +41 22 730 0651
M: +41 79 667 4660

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Woman entrepreneur brings quality medical solutions to Viet Nam
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On average, patients suffering from severe injuries need four to five caretakers to reduce pain and aid their rehabilitation. This lesson stuck with Nguyen Thi Thanh Truc, after working as an assistant at a medical equipment trading house.

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This need, however, is far from being met in Ho Chi Minh City, Viet Nam, where many patients lack access to proper healthcare and resources essential to their speedy recovery.

Recognizing this, Ms. Nguyen founded her own company, Viet Care Solution, in 2011 to bring better quality medical supplies to the country.

Success wasn’t straightforward. She quickly learned that distributing medical equipment in Viet Nam required extensive medical expertise as well as  training and advisory services so clients can use these supplies effectively. Beyond that, she also needed substantial funding to launch new products into the market.

Ms. Nguyen’s search for business financing landed her to an ‘access to finance’ bootcamp which was implemented by the ITC SheTrades Initiative and the UPS Women Exporters Programme in Viet Nam.

During the bootcamp, she learned to apply business management principles to the healthcare sector and received one-on-one coaching to refine her business’s unique value proposition and pitch deck. Over two days of rigorous practice with ITC SheTrades experts and partners, potential financiers, and fellow women entrepreneurs at the bootcamp, Ms. Nguyen managed to crystallize a pitch to impress.

Her hard work paid off in a matter of two days, when the Vietnam Prosperity Joint-Stock Commercial Bank (VP Bank) offered a VND 600 million (about $24,350) loan to back her new business venture. Ms. Nguyen was granted a non-collateral loan which afforded her a 55-day grace repayment period; this helped her stave off potential cash flow problems and paved the way for her business expansion.

Since landing the loan from VP Bank, Ms. Nguyen’s business has grown year-on-year.

Today, Viet Care Solutions has reached over 1,000 Vietnamese in Ho Chi Minh City. The company not only supplies to Vietnamese clinics and hospitals, but its products have also made it to healthcare facilities in neighbouring Cambodia.

For Ms. Nguyen, when it comes to healthcare, one must never be content with the status quo.

The entrepreneur wants to continue bringing the latest and best technologies to her Viet Nam—and recruit more youths, especially young women, into her legion of changemakers.

‘No matter how difficult the obstacles I face, the passion I have for my work always takes me to the finish line. It is only onwards and upwards from here,’ says Ms. Nguyen.

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