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ITC publications bring the business voice to sustainable trade, with a focus on developing countries. We offer guidance for trade policymakers, business support organizations and small firms. Our reports offer insights to make trade more inclusive, green, digital and competitive.

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Identifier le potentiel commercial intrarégional en Afrique de l'Ouest
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La Commission de la CEDEAO et le Centre du commerce international œuvrent à renforcer le développement durable de la région grâce à des outils d'information sur les marchés et à un appui aux petites entreprises.

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L'intégration commerciale et la compétitivité en Afrique de l'Ouest sont en deçà de leur potentiel. Selon le Forum économique mondial, les États membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) se classent parmi les pays les moins compétitifs au monde. Le Centre du commerce international (ITC) estime que plus de 2 milliards de dollars de potentiel commercial intrarégional pourraient être réalisés au cours des prochaines années, sous réserve d'investissements et de l'élimination des frictions du marché.

En raison des perturbations des chaînes de valeur mondiales dues aux crises récentes, les initiatives de développement régional ont pris de l'ampleur. La Commission de la CEDEAO et l'ITC ont invité plus de 60 responsables gouvernementaux de toute la région à une réunion de haut niveau des parties prenantes les 16 et 17 mai 2023 à Abidjan, en Côte d'Ivoire. L'objectif était de présenter deux projets parrainés par l'Union européenne (UE), à savoir l'Observatoire africain du commerce et l'Observatoire de la compétitivité en Afrique de l'Ouest, qui sont destinés à mettre la région sur la voie du développement durable grâce à des outils d'information commerciale, au renforcement des capacités et à l'appui aux entreprises.

L'Observatoire africain du commerce est l'un des cinq instruments nécessaires au succès de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), instaurée sous l'égide de l'Union africaine. Basé sur des données actualisées et fiables, cet outil en ligne permet aux décideurs politiques et aux entreprises de toute l'Afrique d'identifier, de comparer et de suivre les opportunités commerciales générées par l'intégration régionale et la ZLECAf. Les trois modules qui le composent (Comparaison, Exploration, et Suivi) fournissent aux entreprises africaines des informations commerciales sur les tendances, les opportunités et les conditions d'accès aux marchés. En outre, il offre des indicateurs liés au commerce qui permettent aux décideurs politiques et aux responsables gouvernementaux de suivre l'intégration commerciale régionale et l'impact de la ZLECAf sur leur économie. En fin de compte, l'Observatoire africain du commerce contribue à améliorer la couverture et la qualité des données commerciales en Afrique.

L'Observatoire de la compétitivité en Afrique de l'Ouest, élaboré dans le cadre du Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP), permet aux décideurs politiques et aux entreprises de prendre des décisions éclairées et d'engager des actions stratégiques pour améliorer la compétitivité et l'intégration régionale. Premier du genre, cet outil s'appuie sur les données collectées par l'Observatoire du commerce africain. En outre, son module sur la compétitivité s'appuie sur des données provenant de sources complémentaires pour fournir des informations complètes sur les performances et les moteurs de la compétitivité en Afrique de l'Ouest. Son module sur les chaînes de valeur régionales offre également des détails sur cette composante, y compris des informations sur les produits, les partenaires et les marchés. Enfin, son module de mise en relation commerciale facilite les relations entre les entreprises de la région afin de renforcer les chaînes de valeur de l'Afrique de l'Ouest et de promouvoir le commerce régional.

S'exprimant en amont de l'événement, le Directeur par intérim du commerce de la CEDEAO, Kolawole Sofola, a déclaré : « Alors que nous travaillons à renforcer les chaînes de valeur ouest-africaines et à favoriser l'intégration régionale et continentale, ces outils apporteront un éclairage et un appui précieux aux décideurs politiques et aux entreprises de la région. Nous sommes ravis de nous associer au Centre du commerce international dans le cadre de cette initiative qui, nous en sommes convaincus, pourrait transformer la façon dont nous faisons des affaires en Afrique de l'Ouest. »

Mondher Mimouni, Chef de la section Renseignements sur les marchés et le commerce de l'ITC, a ajouté : « Dans le cadre de la collaboration continue entre la CEDEAO et l'ITC pour promouvoir le commerce et la compétitivité en Afrique de l'Ouest, nous sommes ravis de partager ces ressources importantes avec nos parties prenantes estimées. L'Observatoire africain du commerce et l'Observatoire de la compétitivité en Afrique de l'Ouest contribueront grandement à améliorer le commerce et la compétitivité dans la région grâce à des prises de décision éclairées par des données factuelles. »

Enfin, Stéphane Bossard, Chef de la Délégation de l'UE en Côte d'Ivoire pour la coopération économique et commerciale, a conclu : « Nous pensons qu'un secteur privé fort et dynamique est un moteur essentiel de la croissance économique, de la création d'emplois et de la réduction de la pauvreté. Par conséquent, avec le programme WACOMP, nous avons fait de l'appui ciblé à la fois aux pays d'Afrique de l'Ouest et au secteur privé une priorité. »

 

À propos du programme WACOMP

Le Programme de compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (WACOMP) vise à appuyer des chaînes de valeur sélectionnées aux niveaux national et régional afin de promouvoir la transformation structurelle et un meilleur accès aux marchés régionaux et internationaux, tout en tenant compte des préoccupations sociales et environnementales. Son objectif global est de renforcer la compétitivité des pays d'Afrique de l'Ouest et d'améliorer leur intégration dans le système commercial à la fois régional et international.

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ITC Actualités
La respuesta «azul» a un clima empresarial próspero
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¿Cómo se construye una economía oceánica de éxito para las pequeñas empresas de Barbados? 

Por medio de la colaboración, los datos, la innovación y la tecnología. Una nueva receta para el éxito. 

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Por Beverley Alleyne, Gerente del departamento de economía oceánica, Barbados Investment and Development Corporation

Las impresionantes estadísticas sobre la economía azul, sus aportaciones económicas y su creciente potencial están marcando los debates en todo el mundo. De hecho, los océanos aportan 1,5 billones de dólares de EE. UU. anuales de valor añadido a la economía mundial, cifra que podría alcanzar los 3 billones para el año 2030. Se calcula que en 2020, 58,5 millones de personas trabajaban en los sectores de la pesca primaria y la acuicultura. Además, los océanos proporcionan la principal fuente de proteínas para más de mil millones de personas en todo el mundo.

La economía azul es la respuesta a la prosperidad económica del futuro. Es por ello por lo que los recursos internacionales están dirigiéndose hacia aquellas iniciativas azules que apoyan el comercio y la actividad económica.

Economía azul
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El crecimiento económico de las empresas en la economía azul

La Barbados Investment and Development Corporation (Corporación de inversión y de desarrollo de Barbados, BIDC) ha instaurado la Economía Oceánica como uno de sus tres pilares corporativos estratégicos, que tiene el objetivo de iniciar y facilitar soluciones industriales transformadoras para el crecimiento económico exitoso de las empresas dentro de la economía azul.

Esto requiere de una red de partes interesadas, de iniciativas originales de desarrollo de las capacidades para apoyar la innovación empresarial en relación a las necesidades del mercado y de recursos financieros para respaldar estos esfuerzos.

La BIDC, como organización de apoyo empresarial nacional, aspira a aumentar la competitividad internacional de las empresas y contribuir así a la diversificación económica, la prosperidad y el bienestar social para todos mediante el aumento de las exportaciones, la creación de empleo y las nuevas inversiones. Pero, ¿cómo se crea un entorno en el que puedan crearse pequeñas empresas innovadoras y competitivas que ofrezcan soluciones significativas en la economía azul? 

Blue Economy Barbados
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Respuestas a los retos de las pequeñas empresas

Una de nuestras iniciativas que busca dar con la respuesta a este reto fue Call for Solutions, en colaboración con Compete Caribbean. Al tiempo que se intentaba estimular la innovación centrada en las necesidades reales del mercado en el espacio azul, se animó a los encuestados del sector privado a utilizar tecnología puntera siempre que fuera posible en la exploración pesquera, el desarrollo de la maricultura, la biotecnología marina, la gestión de residuos, la recogida de datos o el sector energético. 

Dos empresas dedicadas a la gestión de datos y a la pesca fueron preseleccionadas para recibir asistencia técnica y financiera adicional.

La iniciativa puso de relieve las necesidades urgentes de las pequeñas empresas en materia de acceso a la información para localizar los recursos pertinentes, ya sean recursos humanos cualificados o insumos de producción; de datos transversales para aprovechar oportunidades comerciales latentes; de comprensión de las tendencias y la evolución del mercado para poder ajustar sus modelos de negocio en consecuencia; y de comprensión de su entorno normativo. Este último punto es especialmente pertinente en el caso de la economía azul, donde cada vez se requiere una mayor normativa gubernamental para equilibrar la creciente demanda de recursos oceánicos que podrían tener efectos nocivos sobre los arrecifes, los recursos, la biodiversidad y la integridad del medio ambiente.

Son las organizaciones de apoyo empresarial regionales y otras partes interesadas a las que les corresponde abordar estas necesidades.

Economía azul en Barbados
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Lecciones aprendidas: la innovación y la tecnología como medios para la expansión de la economía azul

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La innovación en la economía azul exige disponer de competencias especializadas, conocimientos científicos e ingenio, sobre todo si se tiene en cuenta todo lo que queda por explorar en las aguas del Caribe, por ejemplo la energía de las olas, la bioprospección marina, la maricultura o la reutilización del sargazo. 

Existen grandes oportunidades para que la innovación y la tecnología hagan avanzar el comercio en el sector y, al mismo tiempo, aborden la causa de la sostenibilidad y la gestión adecuada de los recursos oceánicos: desde la trazabilidad del pescado hasta la vigilancia de los arrecifes, pasando por la oferta de ocio turístico, la extracción de datos y la investigación para ayudar a fundamentar las políticas y la normativa.

 

Sin embargo, es imperativo que las nuevas políticas, programas y normativas sigan el ritmo de la innovación y del rápido avance de la tecnología.  Si estas dejan atrás a la infraestructura en la que operan, la propia innovación y el avance tecnológico se verán obstaculizados.

El sector privado desempeña un papel importante al colaborar con los gobiernos para ayudar a articular políticas y normativas sobre las tecnologías emergentes. Las partes interesadas de la economía azul deben trabajar en sincronía para alcanzar los objetivos de una forma colaborativa. El objetivo global del crecimiento industrial y la capacidad comercial debe ser el de todo el sistema y no el de una única entidad dedicada.

Blue economy Barbados
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Economía azul en Barbados
© Cruben M Ramos/Shutterstock

Queda mucho trabajo por hacer para que las organizaciones de apoyo empresarial como la nuestra y las agencias intergubernamentales hagan realidad la economía azul. Calls for Solutions debe continuar trabajando en áreas muy específicas. 

La inversión y los recursos financieros focalizados deben apoyar la investigación científica, la formación técnica de alto nivel y la expansión de los conocimientos, especialmente en aquellas áreas que no están lo suficientemente atendidas en la economía azul, al tiempo que se alinean con las prioridades nacionales y los Objetivos de Desarrollo Sostenible de la ONU. 

 

De este modo, cabe esperar un consiguiente aumento de innovadores con experiencia empresarial y de pequeñas empresas mejor equipadas para introducir en el mercado nuevos bienes y servicios «azules» que contribuyan a la diversificación económica, la creación de empleo y el avance económico junto al bienestar para todos.

 

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ITC Noticias
La réponse « bleue » à un climat d'affaires florissant
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Les ingrédients d'une économie océanique prospère pour les petites entreprises de la Barbade : collaboration, données, innovation et technologie. La recette du succès !

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Par Beverley Alleyne, Responsable de l'économie océanique, Barbados Investment and Development Corporation

 

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Le monde entier s'émerveille des statistiques impressionnantes générées par l'économie bleue, de ses contributions économiques et de son potentiel en plein essor. De fait, l'exploitation des océans rapporte 1 500 milliards de dollars par an en valeur ajoutée à l'économie globale, et ce chiffre pourrait atteindre 3 000 milliards de dollars d'ici 2030. L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estime qu'en 2020 près de 58,5 millions de personnes étaient employées dans le seul secteur de la pêche primaire et de l'aquaculture. Par ailleurs, les océans constituent la principale source de protéines pour plus d'un milliard de personnes dans le monde.

 

La conviction que l'économie bleue est la réponse à la prospérité économique future est désormais bien établie, et des ressources internationales sont à présent allouées à des initiatives bleues qui appuient ce type de commerce et d'activité économique.

Économie bleue
© Shutterstock

La croissance économique du secteur privé dans l'économie bleue

Parmi les trois piliers dont s'est doté la Barbados Investment and Development Corporation (BIDC) figure celui consacré à l'économie océanique. L'objectif est d'initier et de faciliter des solutions industrielles transformatrices qui permettront aux entreprises de connaître une croissance économique dans le cadre de l'économie bleue.

La réalisation de cet objectif requiert un réseau de parties prenantes, des initiatives originales de renforcement des capacités pour appuyer l'innovation commerciale autour des besoins du marché, et des ressources financières pour appuyer ces efforts.

En tant qu'organisation nationale d'appui aux entreprises, le mandat de la BIDC est de créer des entreprises compétitives au niveau international, pouvant contribuer à la diversification économique, à la prospérité et au bien-être social de tous grâce à l'augmentation des exportations, à la création d'emplois et à de nouveaux investissements. La question est de savoir comment créer un environnement propice à des petites entreprises innovantes et compétitives, qui leur permette d'apporter des solutions significatives en faveur de l'économie bleue.

Blue Economy Barbados
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Répondre aux défis des petites entreprises

L'une de nos initiatives visant à répondre à ce défi est l'Appel aux solutions, lancé en collaboration avec Compete Caribbean. L'idée est de stimuler l'innovation axée sur les besoins réels du marché dans l'espace bleu, en invitant les répondants du secteur privé à utiliser, lorsque c'est possible, des technologies de pointe pour développer la pêche, la mariculture, la biotechnologie marine, la gestion des déchets, la collecte de données, et renforcer le secteur de l'énergie.

L'appel a permis de présélectionner deux entreprises travaillant dans le domaine de la gestion des données et de la pêche, qui vont bénéficier d'une assistance technique et financière.

L'initiative a également mis en évidence les besoins urgents des petites entreprises à de multiples niveaux : l'accès à l'information afin de localiser les ressources pertinentes, qu'il s'agisse de ressources humaines qualifiées ou d'intrants de production ; la disponibilité de données transversales permettant d'identifier les opportunités commerciales latentes ; la compréhension des tendances du marché et de son évolution afin de pouvoir adapter le modèle d'entreprise ; et la compréhension de l'environnement réglementaire. Ce dernier point est particulièrement crucial dans le cadre de l'économie bleue où l'instauration de réglementations gouvernementales est indispensable pour équilibrer la demande croissante envers les ressources océaniques et éviter les effets potentiellement délétères sur les récifs, les ressources, la biodiversité, et l'intégrité de l'environnement.

Il incombe aux organisations régionales d'appui aux entreprises et aux autres parties prenantes qui les appuient de répondre à ces besoins.

Économie bleue Barbade
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Innovation et technologie comme moyens d'expansion de l'économique bleue : enseignements

Blue Economy Barbados
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L'innovation dans l'économie bleue exige des compétences spécialisées, des connaissances scientifiques et de l'ingéniosité, d'autant plus que de nombreux aspects des océans des Caraïbes sont encore sous-explorés voire inexplorés, comme l'énergie houlomotrice, la bioprospection marine, la mariculture, la réutilisation des sargasses.

Cet environnement offre des opportunités exaltantes en matière d'innovation et de technologie pour faire progresser le commerce tout en abordant la question de la durabilité et de la bonne gestion des ressources océaniques – de la traçabilité des poissons à la surveillance des récifs, des offres de divertissement touristique à l'extraction de données et à la recherche pour éclairer l'élaboration de politiques et de réglementations.

Il est toutefois impératif que les nouvelles politiques, les nouveaux programmes et les nouvelles réglementations suivent le rythme des innovations et des progrès rapides de la technologie, car s'ils se laissent distancer, les infrastructures deviendront des entraves à l'innovation et aux progrès technologiques que nous cherchons justement à encourager.

À cet égard, le secteur privé joue un rôle essentiel dans la collaboration avec les gouvernements pour aider à formuler des politiques et des réglementations sur les technologies émergentes. L'ensemble des parties prenantes de l'économie bleue doit être synchronisé afin de réaliser en collaboration ce qui ne peut être réalisé de manière compartimentée. L'objectif global vise la croissance industrielle et la capacité commerciale, et à ce titre doit être l'affaire de l'ensemble et non d'une entité spécialisée et isolée.

Blue economy Barbados
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Économie bleue Barbade
© Cruben M Ramos/Shutterstock

Il reste encore beaucoup à faire pour que les organisations d'appui aux entreprises telles que la nôtre et les agences intergouvernementales réalisent le potentiel vanté de l'économie bleue. L'initiative Appel aux solution doit donc se poursuivre dans des domaines fortement ciblés.

Des ressources financières et des investissements dédiés doivent venir appuyer la recherche scientifique, la formation technique de haut niveau et l'expansion des connaissances, en particulier dans les domaines mal desservis de l'économie bleue, tout en s'alignant sur les priorités nationales et les objectifs de développement durable des Nations Unies.

Ce faisant, l'augmentation concomitante du nombre d'innovateurs technologiques et de petites entreprises mieux équipées deviendra une réalité et permettra de mettre sur le marché de nouveaux biens et services « bleus », contribuant ainsi à la diversification économique, à la création d'emplois et au progrès économique, tout en s'assurant du bien-être de tous.

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ITC Actualités
Pequeñas pero poderosas - Las empresas en la transición hacia una economía ecológica
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Las pequeñas empresas tienen un enorme potencial para impulsar la transición hacia una economía ecológica, pero corren el riesgo de quedarse al margen.

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Se está acelerando la transición hacia una economía más ecológica. Numerosos países de todo el mundo están viendo las oportunidades de un modelo económico basado en los recursos renovables, el crecimiento sostenible y un mayor alineamiento con la naturaleza y el bienestar humano. Existe un clamor por parte de los ciudadanos y de los científicos para que se actúe y se aborde la crisis climática y otros retos medioambientales acuciantes sin que afecte al crecimiento de la economía.

El Secretario General de la ONU, António Guterres, ha hecho un llamamiento a una «revolución de las energías renovables» y a «[reasignar] las subvenciones a los combustibles fósiles a las personas vulnerables que quieran participar en la economía ecológica». En la Green Economy Coalition (GEC), no podemos estar más de acuerdo y consideramos que las microempresas y las pequeñas y medianas empresas (MIPYME) son actores poderosos de este nuevo modelo económico.

Como mostramos en nuestro nuevo informe con Finance Watch, las pequeñas empresas representan hasta el 90 % de los puestos de trabajo en muchos países (especialmente en las economías emergentes), y contribuyen entre un cuarto y más de la mitad de toda la actividad económica.

Con todo, las pequeñas empresas se ven excluidas involuntariamente de la participación en la economía ecológica por su falta de acceso a la financiación, la falta de reconocimiento del valor social y medioambiental que aportan y el recurso a las exenciones de las normas medioambientales, lo que conduce a una carrera cuesta abajo en la que las empresas ecológicas locales tienen dificultades para competir.

© Aiman Baser. Unsplash.

Las empresas locales y ecológicas desempeñan un papel importante en todo el mundo

La Green Economy Coalition ha unido a las asociaciones y voces de todo el mundo con el objetivo de defender el papel de las empresas ecológicas locales.

La GEC trabaja desde 2009 para promover una nueva visión de la economía ecológica a escala nacional y mundial. Hemos reunido a los actores de base y a las empresas ecológicas más pequeñas, a quienes llamamos «empresas ecológicas locales», para dar forma a nuevos enfoques de la inversión ecológica que puedan garantizar que los fondos y las oportunidades lleguen a estos actores.

La Declaración de Delhi de 2020 tipifica el enfoque que adoptamos, así como los mensajes que empiezan a escuchar los encargados de formular políticas, que ven el potencial de lo pequeño y lo ecológico para hacer realidad la transición ecológica. Sin embargo, para tener éxito necesitamos asociaciones y socios como el Centro de Comercio Internacional para garantizar que se escuchan los mensajes adecuados.

© Anton Luzhkovsky. Unsplash.
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Una cuestión de confianza, financiación y políticas propicias

Los gobiernos deben generar confianza, revertir los déficits de financiación y crear políticas propicias para aprovechar todo el potencial de las pequeñas empresas ecológicas.

En la publicación «Financing Local Green Enterprises: Closing the funding gap for sustainable MSMEs in developing countries» (2022), Finance Watch y la GEC abogan por tres conjuntos de recomendaciones para volver a incluir a las MIPYME ecológicas (o a las que están en proceso de ecologizarse) en los debates.

Los gobiernos deben desarrollar «planes maestros» que aborden de forma conjunta la confianza, la información y la capacidad, y el ecosistema financiero.

  1. Confianza - los gobiernos y las instituciones financieras deberían garantizar que las pequeñas empresas puedan obtener capital con mayor facilidad para acceder a la financiación, así como trabajar para mejorar los sistemas de garantía de créditos con el fin de incentivar las actividades ecológicas.
  2. Información y capacidad - los gobiernos deberían mejorar las capacidades de las empresas ecológicas y estudiar el estatus legal de sus formas de negocio, proporcionar condiciones crediticias favorables y crear agencias de ventanilla única para las pequeñas empresas.
  3. Ecosistema financiero - los gobiernos deberían potenciar el ecosistema financiero para las empresas ecológicas y ordenar a las instituciones financieras de desarrollo y a los bancos que entren en este espacio, se replanteen los préstamos de microcréditos y cambien la forma de contabilizar el gasto público en apoyo a las pequeñas empresas.
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Chris Hopkins, Responsable de Política Económica, Green Economy Coalition
Petites mais puissantes – Les entreprises et la transition vers l'économie verte
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Les petites entreprises ont un énorme potentiel pour suralimenter la transition vers l'économie verte, mais elles risquent d'être laissées sur la touche.

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La transition vers une économie plus verte s'accélère. Les pays du monde entier comprennent parfaitement les opportunités d'un modèle économique qui repose sur des ressources renouvelables, une croissance durable et un alignement plus prononcé avec la nature et le bien-être humain. Les citoyens et les scientifiques réclament à cor et à cri que l'on agisse et que l'on s'attaque à la crise climatique et aux autres défis environnementaux urgents, alors même que les économies poursuivent leur croissance.

António Guterres, Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, a appelé à une « révolution des énergies renouvelables », et à « transférer les subventions dédiées aux combustibles fossiles vers les personnes vulnérables qui veulent s'engager dans l'économie verte ». À la Coalition pour une économie verte (GEC, Green Economy Coalition), nous adhérons corps et âme à cette déclaration – et nous voyons les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) comme les puissants acteurs de ce nouveau modèle économique.

Comme nous le montrons dans notre nouveau rapport, publié conjointement avec Finance Watch, les petites entreprises représentent jusqu'à 90 % des emplois dans de nombreux pays (notamment les économies émergentes), et contribuent entre un quart et plus de la moitié de toute l'activité économique.

Pourtant, les petites entreprises sont involontairement écartées de la participation à l'économie verte – en raison du manque d'accès au financement, du manque de reconnaissance de la valeur sociale et environnementale qu'elles apportent, et du recours à des exemptions aux réglementations environnementales. Cette situation conduit à un nivellement par le bas et laisse les entreprises vertes locales en difficulté pour être compétitives.

© Aiman Baser. Unsplash.

Les entreprises vertes locales jouent un rôle important au niveau mondial

La GEC a réuni ses partenaires et des voix du monde entier pour plaider en faveur des entreprises vertes locales et du rôle qu'elles ont à jouer.

Notre organisation travaille depuis 2009 à promouvoir de nouvelles visions de l'économie verte aux niveaux mondial et national. Nous avons rassemblé des acteurs de terrain et les entreprises vertes les plus petites (celles que nous appelons « entreprises vertes locales ») pour façonner de nouvelles approches de l'investissement vert qui pourront garantir que les fonds et les opportunités parviennent bien à ces acteurs.

La Déclaration de Delhi 2020 décrit l'approche que nous avons adoptée, et reprend les messages que les décideurs politiques commencent à entendre tandis qu'ils constatent tout le potentiel des petites entreprises vertes pour faire de la transition verte une réalité. Mais pour réussir, nous avons besoin de partenariats et de partenaires comme le Centre du commerce international pour nous assurer que ce sont bien les bons messages qui sont reçus.

© Anton Luzhkovsky. Unsplash.
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Une question de confiance, de financement et de politiques propices

Les gouvernements doivent instaurer la confiance, combler les lacunes en matière de financement, et créer des politiques propices au déploiement du plein potentiel des petites entreprises vertes.

Dans notre rapport déjà mentionné plus haut, intitulé Financer les entreprises vertes locales : Combler le déficit de financement des MPME durables dans les pays en développement (2022, uniquement en version anglaise), Finance Watch et le GEC plaident pour trois séries de recommandations visant à recentrer les MPME vertes (ou celles qui permettent de « verdir » les économies) dans le débat.

Les gouvernements devraient envisager des plans directeurs qui traitent à la fois de la confiance, de l'information et des capacités, ainsi que de l'écosystème financier.

  1. Confiance – Les gouvernements et les institutions financières devraient s'assurer que les petites entreprises peuvent rassembler plus facilement des capitaux pour accéder au financement, et travailler à l'amélioration des systèmes de garantie de crédit pour encourager les activités vertes.
  2. Information et capacités – Les gouvernements devraient renforcer les capacités des entreprises vertes en explorant le statut juridique de ces entreprise, en offrant des conditions de crédit favorables et en créant des agences à guichet unique pour les petites entreprises.
  3. Écosystème de financement – Les gouvernements devraient suralimenter l'écosystème de financement des entreprises vertes en mandatant les institutions de financement du développement et les banques d'occuper ce créneau, en repensant les prêts de microcrédit et en modifiant la façon dont ils comptabilisent les dépenses publiques pour l'appui aux petites entreprises.
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Chris Hopkins, Responsable de la politique économique, Green Economy Coalition
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Relier les acheteurs et fournisseurs durables : le Réseau intelligent sur le climat
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(Genève/Washington, DC) Les acheteurs du monde entier peuvent désormais entrer en contact avec des fournisseurs de petite taille qui s'adaptent au changement climatique ou contribuent à l'atténuer grâce au Réseau intelligent sur le climat, développé par le Centre du commerce international (ITC) en partenariat avec le Bureau des partenariats mondiaux du Département d'État des États-Unis. Cette plateforme est la première du genre à regrouper les profils d'acheteurs et de fournisseurs dédiés au développement durable dans un même répertoire. D'envergure mondiale et facilement consultable, celui-ci compte aujourd'hui plus de 55 000 profils.

Les petites entreprises peuvent utiliser la plateforme pour présenter les mesures climato-intelligentes qu'elles mettent en œuvre et leur conformité aux normes de durabilité de tierces parties. Elles pourront ainsi attirer certains des plus grands acheteurs mondiaux qui cherchent à s'approvisionner auprès de fournisseurs écologiques, y compris ceux des pays en développement. Les petites entreprises peuvent également utiliser la plateforme pour accéder à des outils qui les aideront à réduire leurs émissions et à s'adapter aux effets du dérèglement climatique.

Les acheteurs pourront protéger leurs chaînes d'approvisionnement contre les effets du changement climatique en accédant aux données de la plateforme – approuvées par l'ITC, la principale agence des Nations Unies appuyant les petites entreprises pour leur permettre de se relier aux marchés mondiaux – afin de vérifier les affirmations des fournisseurs nouveaux et potentiels en matière d'intelligence climatique. Ils pourront également ajouter du contenu et des données pour étayer leur profil d'entreprise et partager des ressources pour aider leurs fournisseurs à effectuer la transition vers une économie à faible émission de carbone.

La dernière mise à jour de la plateforme a fait l'objet d'une annonce à l'occasion du sommet Aim for Climate, qui s'est tenu à Washington, DC, du 8 au 10 mai. Cette mise à jour comprend l'ajout de 45 000 producteurs bio certifiés par le Département de l'agriculture des États-Unis (USDA), répartis dans plus de 100 pays.

Rejoignez le Réseau intelligent sur le climat ici

 

Parlant de cette initiative, l'envoyé spécial du Président des États-Unis pour le climat, John Kerry, a déclaré : « Je suis ravi de constater que 45 000 exploitations et entreprises bio certifiées figurant dans la base de données de l'USDA sur l'intégrité font désormais partie du Réseau intelligent sur le climat. En élargissant ce réseau d'acheteurs et de fournisseurs, nous pourrons mieux lutter contre les émissions de la chaîne d'approvisionnement. »

Pamela Coke-Hamilton, Directrice exécutive de l'ITC, a ajouté : « Les petites entreprises ont un rôle majeur à jouer dans la transition vers une économie à faibles émissions de carbone, car elles représentent la quasi-totalité des entreprises et la majorité des emplois dans le monde, y compris dans les pays en développement. Le Réseau intelligent sur le climat va les aider à réduire leur empreinte environnementale tout en leur offrant la plateforme dont elles ont besoin pour entrer en contact avec des acheteurs du monde entier. »

Les organisations qui souhaitent rejoindre le Réseau intelligent sur le climat, un réseau mondial et public d'entreprises et d'initiatives durables, peuvent se manifester auprès de l'ITC.

La plateforme est disponible dans les langues suivantes : allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, français, italien, néerlandais, portugais et russe.


Note aux éditeurs

À propos du Centre du commerce international – Le Centre du commerce international (ITC) est une agence conjointe de l'Organisation mondiale du commerce et de l’Organisation des Nations Unies. L’ITC aide les petites et moyennes entreprises des économies en développement et en transition à devenir plus compétitives sur les marchés internationaux. Il contribue ainsi au développement économique durable dans le cadre du programme Aide pour le commerce, et celui des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Pour de plus amples informations sur l'ITC, visitez le site www.intracen.org.

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Contact média

Susanna Pak
Chargée de communication stratégique
Centre du commerce international
Courriel : pak [at] intracen.org
Tél. : +41 22 730 0651
Port. : +41 79 667 4660

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ITC Actualités
Conectando a compradores y proveedores sostenibles: únase a la Climate Smart Network
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(Ginebra/Washington, DC) Los compradores de todo el mundo pueden ahora ponerse en contacto con los proveedores a pequeña escala que están adaptándose al cambio climático o mitigando sus efectos, a través de la red Climate Smart Network, desarrollada por el Centro de Comercio Internacional (ITC) en colaboración con la Oficina de Asociaciones Globales del Departamento de Estado de los Estados Unidos de América. La plataforma es la primera de su clase y reúne en un mismo lugar los perfiles de compradores y proveedores centrados en la sostenibilidad. Además, constituye un directorio global en el que se pueden realizar búsquedas entre sus más de 55.000 perfiles. 

Las pequeñas empresas pueden utilizar la plataforma para mostrar las medidas respetuosas con el medio ambiente que han puesto en marcha y su cumplimiento con las normas de sostenibilidad de terceros con el objetivo de atraer a algunos de los mayores compradores del mundo que buscan abastecerse a través de proveedores ecológicos, incluyendo a aquellos provenientes de los países en desarrollo. Las pequeñas empresas también pueden utilizar la plataforma para acceder a varias herramientas que pueden ayudarlas a reducir sus emisiones y a adaptarse al impacto del cambio climático.

Los compradores pueden blindar sus cadenas de suministro frente al cambio climático gracias a los datos que ofrece la plataforma y verificar la información proporcionada por los nuevos y los potenciales proveedores sobre sus prácticas respetuosas con el medio ambiente. La plataforma está verificada por el ITC, la principal agencia de la ONU que apoya a las pequeñas empresas para que se conecten a los mercados mundiales. También pueden utilizar los contenidos y datos en sus informes corporativos y compartir recursos para ayudar a sus proveedores a realizar la transición hacia una forma de hacer negocios con una baja emisión de carbono.

La actualización más reciente de la plataforma incorporó a 45.000 productores ecológicos certificados por el Departamento de Agricultura de Estados Unidos de América (USDA) en más de 100 países, y se anunció durante la Cumbre Aim for Climate celebrada en Washington, DC, del 8 al 10 de mayo.

Únase a la Climate Smart Network aquí.


Con respecto a la iniciativa, el enviado presidencial especial de los Estados Unidos de América para el clima, John Kerry, dijo: «Me entusiasma ver que 45.000 explotaciones agrícolas y empresas ecológicas certificadas de la base de datos Integrity Database del Departamento de Agricultura de Estados Unidos están ahora en la red Climate Smart Network. Con la ampliación de esta red de compradores y proveedores podemos abordar mejor las emisiones de la cadena de suministro».

Por su parte, la Directora Ejecutiva del ITC, Pamela Coke-Hamilton, añadió: «Las pequeñas empresas tienen un importante papel que desempeñar en la transición hacia una economía con bajas emisiones de carbono, ya que estas representan la mayoría de las empresas y de los puestos de trabajo en todo el mundo, incluidos los países en desarrollo. La Climate Smart Network va a ayudarles a reducir su huella medioambiental al tiempo que les proporcionará la plataforma que necesitan para ponerse en contacto con compradores de todo el mundo».

Las organizaciones que deseen unirse a la Climate Smart Network, una red pública mundial de empresas e iniciativas sostenibles, pueden ponerse en contacto con el ITC.

La plataforma está disponible en árabe, chino, holandés, inglés, francés, alemán, italiano, portugués, ruso y español.


Notas para el editor:

Sobre el Centro de Comercio Internacional - El Centro de Comercio Internacional es la agencia conjunta de la Organización Mundial del Comercio y las Naciones Unidas. El ITC apoya a las pequeñas y medianas empresas radicadas en las economías en desarrollo y en transición para que sean más competitivas en los mercados mundiales, con lo que contribuye al desarrollo económico sostenible en el marco del programa de Ayuda para el Comercio y de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas.

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Susanna Pak
Oficial superior de comunicación estratégica
Centro de Comercio Internacional
E: pak [at] intracen.org
Teléfono: +41 22 730 0651
Teléfono celular: +41 79 667 4660

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Las normas y los reglamentos tienen repercusiones importantes en la competitividad de las pymes.El tema central del informe Perspectivas de competitividad de las pymes de este año es "Cumplir las normas para fomentar el comercio". Cuando las pymes siguen dicha recomendación, aumentan sus...

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Les normes et réglementations ont un impact majeur sur la compétitivité des PME. Se mettre aux normes pour échanger, le thème de cette édition annuelle de la Perspective de la compétitivité des PME, permet aux PME d’accroître leurs chances de se connecter aux chaînes de valeur...

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Most investors seek information about local suppliers before making decisions to invest. This report uses ITC data on small and medium-sized enterprise (SME) competitiveness at macro, meso and micro-level to de-risk investment decisions.Survey results show: high-tech potential among youth, with...

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La digitalización y el auge de la economía de plataformas están cambiando rápidamente la forma en la que las empresas hacen negocios. Es necesario un ecosistema empresarial fuerte para gestionar este cambio. El informe Perspectivas de competitividad de las PYMES de este año explica cómo...

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